Lequel ou laquelle ne fête-t-on pas Le 29 mai ?
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Réponse lundi prochain
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Lequel ou laquelle ne fête-t-on pas Le 29 mai ?
Réponse lundi prochain
Actuellement vous triez les ampoules, le papier, le verre, les vêtements, le plastique ...... mais savez-vous où déposer vos radiographies argentiques et/ou numériques, à Paris ?
Il y en a deux, un dans le 13è et l'autre dans le 15è. Ils qui sont ouvert tous les jours de 9h00 à 18h30, fermé les 1er janvier, 1er mai et 25 décembre
Point Tri Vincent Auriol (13e)
Face au 132, boulevard Vincent Auriol
(sous le métro aérien, au niveau de la station Nationale)
Tel : 01 45 83 06 15
Point Tri Pasteur (15e)
Face au 13, boulevard Pasteur
(sous le métro aérien, au niveau de la station Sèvres-Lecourbe)
Tél : 01 45 66 72 41
Vous pouvez également déposer vos clichés radiographiques (sans enveloppe ni papier) dans des points de collecte de la société Rhône-Alpes-argent. Les points de collecte pour le 12è sont :
- le centre de santé Robert Pommier - 52 avenue Général Bizot
- Le centre d'imagerie Diderot - 134 bd Diderot
Stéphane Bern a collectionné pour notre plaisir les bons mots de l'Histoire. Certaines de ces piques ou répliques sont parfois féroces mais toujours savoureuses.
Elles sont parfois le fait de personnages que nous découvrons. Souvent cependant elles sont dues à des hommes politiques célèbres comme Talleyrand et Clemenceau ou plus près de nous, Charles de Gaulle et Winston Churchill.
Les écrivains Voltaire, Rivarol, et Hugo ne sont pas en reste.
Ces piques et répliques de l'Histoire ne peuvent que vous séduire.
Jean-Paul
Si vous avez un peu de temps,
Je vous conte bêtement
Mes soucis survenus,
Que peut-être vous même avez connus.
Courage pour cette lecture
À savoir que rien ne dure !
La plaie du téléphone
Belle invention quand il fonctionne
Mais quand il est fatigué, il abandonne
Catastrophe, plus personne
Avec qui communiquer.
Mon filaire de quelques années
Quelque peu moderne
Dont le répondeur, peut-être épuisé
Donne un son bien terne,
Puis quand l'écouteur replacé
Continue à sonner,
Du type "signal occupé"
Alors, vite sous la table, obligée
D'aller à quatre pattes, même pas peur
Ôter les prises du secteur
Et les replacer, immédiatement
Vérifier de l'engin le comportement.
Ceci étant trop souvent arrivé
Un problème sûrement va s'inviter.
Pas de son, pas de contact,
Gesticulations à nouveau à quatre pattes
Après contrôle, aucun résultat
L'appareil, tout noir, est à plat !
Raisonnablement reste à filer
En boutique pour acheter
Un remplaçant, voire un mobile
C'est la mode du sans fil.
Le vendeur explique vaguement
Tout simple, dit-il le maniement.
Lire évidemment la notice
Plusieurs pages... Dur pour une novice !
Par quoi commencer l'installation ?
Que de symboles ; abomination !
Placer les fils, les piles, je repère
Cela quand même je sais faire.
Étudier les touches du répondeur
Jusque-là, pas d'erreurs
Faudra brancher, débrancher
Sur le bouton vert appuyer
Mais ne pas se tromper
Avec le rouge alterner.
En plus, les références non identiques
Entre la notice et le combiné
Cela devient compliqué
De quoi attraper des tics !
Lire à une page l'emploi
Suivre à d'autres les renvois
Ainsi plusieurs fois naviguer
Pas simple de s'y retrouver.
Encore des tâches à accomplir
Mais pas de panique
Bien étudier la technique
Pour avoir un jour le plaisir
D'utiliser c'est certain
La complexité de cet engin.
Où est le temps où l'appareil
Demandait peu de labeur
Faire le numéro, prendre l'écouteur
Converser, simple, une merveille !
Pour l'instant je me résous
À regarder son apparence
Nouvelle, en l'occurrence
Fonction minimum, c'est tout !
Plus tard la tête reposée
Des symboles je vais jouer,
Combattre mon appréhension
Faire face à mes hésitations,
Profiter de la nouvelle technologie
Et adieu la nostalgie.
Simplification dit-on maintenant ?
Les yeux rivés sur les écrans
Presser des boutons tout le temps,
Pour mes cheveux blancs
Dur, de suivre le mouvement.
Ninette
Jusqu'au 30 juillet le Musée de l'Armée des Invalides présente une exposition sur un sujet peu souvent abordé car peu glorieux : la guerre franco-allemande 1870-71.
De nombreux tableaux, des uniformes, des armes, des casques, des drapeaux et de nombreux documents et photographies rendent cette exposition vivante.
L'impressionnant dirigeable semblable à celui pris par Gambetta pour se rendre à Tours et quitter la capitale assiégée, nous rappelle que les Parisiens subirent avec courage une "année terrible".
Une exposition pour se souvenir.
Jean-Paul
Actuellement vous triez les ampoules, le papier, le verre, les vêtements, le plastique ...... mais savez-vous où déposer vos radiographies argentiques et/ou numériques ?
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Qui a dit "Un roman est un miroir que l'on promène le long du chemin" ?
Le blog de Bel Air Sud a publié un article sur "la propreté de l'espace public à Paris" dont la question est "partagez-vous ce point de vue".
Vous désirez indiquer le vôtre cliquez ICI
Jeanet
Le samedi 20 mai a lieu la 13è édition de la Nuit Européennes des musées. Celle-ci réserve de belles surprises aux visiteurs : des commémorations, notamment le centenaire de la disparition d’Auguste Rodin et le bicentenaire de la naissance du peintre et graveur Charles-François Daubigny, de nombreuses animations inédites, parmi lesquelles des concerts, des ateliers ainsi que des visites à la bougie, sans oublier l’ouverture de nombreux centres culturels étrangers et de lieux exceptionnellement accessibles au public.
Jeanet
Décrire son trousseau de clés et raconter une histoire
Voici mon trousseau de clés :
Le pass bleu, sésame de l’immeuble où seuls ses privilégiés détenteurs accèdent ;
La toute petite clé de la boîte à lettres, messagère de bonnes et mauvaises nouvelles ;
La moyenne clé de la cave, témoin de mon bazar bien personnel accumulé depuis 40 années.
Et enfin, et non des moindres, la grande carrée, symbole protecteur de mon intimité.
Ma Vie en un trousseau ! Le trousseau de ma Vie !
Si par malheur je le perdais ?...
J’ai vécu ainsi un dimanche terrible : me rendant au vide-ordures, je me suis retrouvée sur le palier en chaussons et haillons, poubelle puante à la main. Derrière moi, la porte avait claqué enfermant mon trousseau ! Ma Vie ! Au s’cours !
Je n’étais plus qu’une enveloppe agonisante, décérébrée. Si au moins j’eus été un fantôme, je me serais réincarnée en traversant les murs !!!
Brusquement mon poing se mit violemment à cogner à la porte voisine. Une jolie vieille dame tout sourire est apparue et m’a prise par la main…
Grâce à elle, mon enveloppe fût réincarnée et Paulette garde avec elle pour toujours la clé de ma Vie.
MartineC