Le samedi 26 avril nous sommes partis sur les traces d’Alfred Dreyfus à travers l'exposition au Mahj.
Très intéressante exposition bien expliquée par la conférencière.
Après nous sommes allés déjeuner.
AndréeL
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Le samedi 26 avril nous sommes partis sur les traces d’Alfred Dreyfus à travers l'exposition au Mahj.
Très intéressante exposition bien expliquée par la conférencière.
Après nous sommes allés déjeuner.
AndréeL
Samedi 25 janvier 2025 nous étions un petit groupe pour aller visiter la maison de Monsieur Balzac.
Très intéressant avec une conférencière qui nous a bien expliqué la vie de Balzac.
À la fin Jeannette a posé deux questions sur la grande porte qui donnait sur le jardin et la petite qui donnait sur une petite rue. Malgré qu'elle ait fini sa prestation elle nous a donné les explications. C’était très gentil de sa part.
Nous sommes partis déjeuner. Dommage, les restaurants étant complets, notre petit groupe de 8 a été séparé en deux tables de 4.
Cette journée a été très agréable.
AL
…. ou les Street Artistes s’exposent au Petit Palais…
Un parcours dans les salles consacrées aux expositions permanentes mais aussi et surtout, dans la salle de la Concorde, investie par plus de 60 artistes du Street art, ce qui est un hommage au premier Salon des Refusés de 1863 au Palais de l'Industrie. Ce salon accueillait les artistes de l'avant-garde exclus des cercles académiques. Tout un symbole donc…
Un foisonnement de nombreux tableaux dont certains sont plus reconnaissables que d’autres, puisque ce sont les "originaux" à taille humaine, des œuvres peintes sur les murs des immeubles du 13ème arrondissement par exemple…>
À voir et à coupler avec l’exposition au musée de la Poste. Je n’y suis pas encore allée, mais je compte bien le faire.
WE ARE HERE au Petit Palais, jusqu’au 19 janvier 2025, entrée libre.
Colette C
Si vous voulez admirer les images fortes engendrées par les J.O (les poings levés de Mexico 1968) voir courir Jesse Owens (Berlin 1936) et examiner de plus près le maillot d'Alain Mimoun champion olympique au marathon de (Melbourne 1956), n'hésitez pas, précipitez-vous au Palais de la Porte Dorée l'exposition "Olympisme une histoire du monde(1896-2024) y est programmée jusqu'au 8 septembre.
Jean-Paul
Chana Orloff, est venue de Palestine, à Paris en 1905, après avoir fuis les tsars russes de l’Ukraine actuelle. Son but initial, était les grandes écoles de couture, mais elle attrape à pleine mains la sculpture. Milieu réservé aux hommes à l’époque, elle trouvera sa place, surtout grâce à son style, bien particulier !!! Le portrait !
Non pas la caricature, mais elle met en évidence l’aspect particulier du personnage, sans chercher à l’exagérer.
À la naissance de son fils, certains lui affirmeront, qu’il sera une entrave à sa carrière. Soutenant qu’une femme, artiste, et mère dans le milieu de la sculpture ! elle rétorquera "que la création d’un enfant, ne peut qu’enrichir ses œuvres". Elle n’abandonne donc rien de sa passion, pas même après le décès de son conjoint, restant seule avec un enfant de 1 an.
Hormis les portraits, son thème favori est (bizarre !) la maternité, la mère et l’enfant. Nombre de ses œuvres représentent son fils surnommé Didi. "Mon fils Marin" prône Place des Droits de l’enfant, près de son atelier Villa Seurat, dans XIVème
Ses œuvres, sont de taille humaine, lisses et soyeuses, j’ai presque envie de les caresser, et de les prendre dans les bras…
Le buste de Gaston Picard, sérieux, et droit, un peu étriquée dans un costume 3 pièces…. N’a-t-il pas la tête d'un journaliste ?
Un peu plus loin, cette jeune enfant, les mains dans ses cheveux bouclés…. Des fois qu’elle ait un air de famille avec Ida Chagall ? (Voir Ida à la fenêtre de Marc Chagall).
Et puis, cette autre sculpture représentant Kundig (imprimeur et libraire à Genève …) Avez-vous remarqué son regard ? J’insiste !
Avez-vous déjà vue une sculpture, et remarqué la pupille de son œil un peu espiègle au travers de ces lunettes ? Juste pour lire entre les lignes….
Chana Orloff, fera quelques petites œuvres "pour mettre dans la poche" dira-t-elle…
Sentait-elle la folie monter ? Quand, mi-juillet 1942, un policier de son quartier, qu’elle croise, lui conseille discrètement, "de ne pas rentrer chez elle, de partir, mais de ne pas revenir".
Après ce "voyage contraint", elle se remet au travail. Ses œuvres sont rudes, granuleuse… La guerre est passée par là. Cette 1ère œuvre après avoir regagné son atelier en 1945, se nomme "Le Retour" (on ne pouvait pas trouver mieux) L’homme est assis, sur une chaise, tenant la tête dans les mains.
Cette sculpture est une rare expression de douleur dans toute son œuvre, elle la cachera sous un drap pendant des années.
La maternité restera son sujet préféré, "Maternité allaitante" date de 1949, mais encore rude et comme accidenté, style qu’elle a adopté après la guerre.
Et puis récemment, après 80 ans d’errance, dont 18 ans de démarches, juridiques
"L’enfant Didi" "est rentré, à la maison", œuvre spoliée il avait disparu comme, 147 autres œuvres de Chana Orloff, seule deux ont été restituées.
Le Ministère de la Culture à crée une série de podcaste concernant les œuvres art spoliées, et facilité leur retour, deux concernent cette sculptrice….
Et si la curiosité vous appelle…. Certaine de ses œuvres sont présentées régulièrement au sein d’expositions particulières. Mais plus encore son atelier-musée, géré par ses deux petits-enfants, Villa Seurat est accessible pour des visites.
Arletteck
© Photos 2024 by Arletteck
Après m'être "cassé le nez" sur place une première fois pour obtenir une entrée , le Musée était plein, trop sollicité par internet, j'ai renouvelé l'expérience.
Bien m'en a pris, j'ai réussi à découvrir au milieu de la foule "Racines" le dernier tableau de Vincent. Comme quoi l'obstination paye.
L'exposition dure jusqu'au 4 février, sinon traverser le Musée d'Orsay est toujours un régal. Cela mérite le déplacement.
Jeran-Paul
Quel plaisir d’aller au musée Jacquemart André avec ARVEM un dimanche de pentecôte !
Pendant une demi heure, avant l’entrée du public, nous avons eu le musée rien que pour nous. La visite était accompagnée par une conférencière ayant fait son Master sur la peinture vénitienne à l’époque de Bellini. Quel régal !
L’exposition a pour titre "Giovanni Bellini – Influences croisées". En effet Bellini (1435-1516), qui a eu une très longue carrière, a influencé et a été influencé par un grand nombre de peintres. Giovanni Bellni est le fils illégitime de Jacopo Bellini qui est peintre et a un atelier florissant à Venise. Il se forme dans cet atelier avec son frère Gentile Bellini.
À cette époque, Venise était encore très influencée par le style byzantin. Bellini a appris la technique des icônes dans l’atelier de son père.
Bellini va être également influencé par Andréa Montegna, venu de Padoue, qui est devenu son beau frère. Montegna fut sans doute influencé par le sculpteur Donatello qui resta une dizaine d’années à Padoue.
La rencontre avec Antonello de Messine, qui passe à Venise vers 1475, marque un tournant pour Giovanni.. Antonello de Messine a été en Italie l’un des premiers à abandonner la peinture à la détrempe pour la peinture à l’huile, technique largement utilisée par les Nordiques et notamment Van Eyck. Outre les techniques de peinture, Bellini retient d’Antonello et des flamands la leçon du portrait.
Après la mort de son père, le départ de Montegna pour Mantoue et le départ de son frère Gentile, Bellini récupère l’atelier de son père.
C’est dans cet atelier qu’il accueille de jeunes artistes dont les plus illustres furent Giorgione et Titien. Si les élèves furent influencés par l’art de leur maître, Bellini saura également apprendre auprès d’eux.
EvelyneS
Dans le cadre de l'exposition "Chats et autres bêtes" organisée par les artistes peintres et sculpteurs de l'association ART 19 au Belvédère, 118 avenue Jean-Jaurès 75019 Pairs, j'expose du 24 au 26 mars quelques unes de mes œuvres.
Je serai présente au vernissage qui aura lieu le samedi 25 mars de 18h à 21h
Au plaisir de vous retrouver.
Josi
Tout le monde connait les Peaux Rouges (Red Indians). Au musée du quai Branly, l’exposition portait sur les Black Indians. Exposition de costumes très riches en couleurs lors des carnavals des afroaméricains de la Nouvelle Orléans.
Selon la tradition, ces costumes ont été créés par les Africains-Américains au cours du 19ème siècle afin d’honorer la mémoire des communautés amérindiennes qui les ont côtoyés et aidés durant la période de l’esclavage.
Jean-YvesG
Nous vous invitons au 51e Salon ARTS 19, salle des fêtes Mairie 19è place Armand Carrel, auquel nous participons.
Voici les jours où nous assurons les permanences :
- Lundi 21 novembre de 14h à 17h
- Mercredi 23 novembre de 11h à 14h
- Samedi 26 novembre de 11h à 14h
À très bientôt.
Josiane et Gilles
(*) Invité d'honneur "Daniel Humair"