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Atelier d'écriture - Page 11

  • Atelier d'écriture "Le tautogramme"

    Thème : Tautogramme en M de l'atelier du 11 juin 2018

    Monique Mord dans un Morceau de Maquereau Mariné dans du Morgon et du Mazout. Merde alors, elle en Meurt.

    Mon Monstre à Moi, Mon mec, Mon Mari, Ma Moitié. Me Ment Méthodiquement. Ma Montre Marque Minuit. Il a encore Manqué le Métro.

    Mince, pense Marguerite. Mijoter un Mironton le Mercredi, ce n'est plus à la Mode. Le Menu de Monique est plus Maigre. Mais je n'en Mangerai pas. C'est un Mélange de Minestrone et de Mayonnaise.

    Michel a encore Mouillé Maladroitement son Maillot Marine. Sa Mère le Morigène. Mal lui en prend. Il Maugrée, la Maudit et Mauvais, il Marche Mal ce Matin.

    Mon Manteau Marron Mi-long, Me Mord les Mollets. Je Monte les Marches du Métropolitain avec Méthode. Martine se Moque de Moi. Je M'écroule Méchamment en Marmonnant des Mauvais Mots.

    Jacqueline F.

  • Atelier écriture "Métropolitain en acrostiche"

           Mesdames et Messieurs les voyageurs
    Êtes vous prêt pour une apnée d'une heure
    Tentez d'avoir une place assise
    Restez zen gardez le sourire
    Offrez votre place à qui en a besoin
    Passez sans pousser votre voisin
    Osez converser vous serez surpris
    Les portables oubliés vous en serez ravis
    Il se peut que vous passiez votre station
    Tant est passionnante votre conversation
    Aucune grève en vue quelle chance
    Il fait beau partons en vacances
    Nous verrons bien la suite en Septembre

    Annickd

  • Atelier écriture "Acrostiche : Métropolitain"

    Nestor

    Mon bel amour est parti sans détour
    Et je suis restée sur le bord de la rive.
    Tu sais je me vengerai bien un jour
    Rebelle, tu t'en vas et moi je dérive.
    On dira, sûr, que j'exagère !
    Peut-être même qu'on te plaindra.
    On dira que je suis une vipère.
    Laisse tomber je m'en fous de tout ça.
    Ici, tu seras découpé en morceaux tout menus
    Tes os seront fossiles au fond de la rivière.
    Ah ! je crois que tu n'es pas le bienvenu !
    Ici dans mon domaine qui est ton cimetière.
    Nestor, je t'aime encore !

    Marie Dp

  • atelier écriture "pensée associative"

    Parfois un mot nous en suggère un autre, qui lui est lié par le sens, les sonorités, le souvenir personnel... C'est ce que l'on appelle la pensée associative. 

    Réagir rapidement sur liste de mots.

    Animatrice Martine C

     Marie Dp

    Ensemble : Manif, "Tous ensemble, tous ensemble"
    Liberté  : Chérie, poudre d'escampette
    Solitude : Ça n'existe pas
    Justice : Et le juge qui tripote sa balance
    Sexisme : Bêtise à la puissance 10
    Fierté : Gay-pride
    Honte : Piquer son fard
    Respect : Avec un grand R comme réciproque
    Honneur : Travail, Patrie, mauvais souvenirs signés Pétain
    Misère : Misère
    Amitié : Bécaud  "Toi qui réclames un peu d'amour et d'amitié"
    Bonheur : Porte-bonheur, brin de muguet
    Injustice : C'est pô juste signé Titeuf de la bande dessinée.
    Colère : Mauvaise conseillère
    Espérance : Pour provoquer des jours meilleurs
    Mépris : Jean-Luc Godard, Brigitte Bardot
    Force : Union
    Racisme : Aime ton prochain
    Beauté : Lifting, liposuccion, prothèses mammaires, implants capillaires
    Courage : Fuyons
    Humanité : Quotidien coloré, révolution,
    Charme : Arbre aux feuilles poilues (charme d'Adam c'est d'être à poil)
    Abus….. : Chodonosor
    Loi : La loi, c'est la loi !
    Dignité : Drapée … dans sa dignité<
    Malheur : Sophie et… Les malheurs de Sophie.
    Bonté : Divine

  • Atelier écriture "Fait divers & réaction voyageurs"

    Thème : Un fait divers se déroule dans un transport en commun. Quelle est la réaction des voyageurs ?

    R E R ligne A : Mercredi 18 heures.

    Gaston, homme barbu, chevelu, poilu, à l'apparence bourrue, semble bien chargé. Il monte dans la deuxième voiture. Visiblement, il arrive de la campagne, très embarrassé avec son filet de pommes au bras droit et son panier de cerises à l'autre.

    Dans son village on partage, on se sourit, on se dit bonjour, on parle fort. Ici personne ne se regarde, chacun serre son sac avec un fil allant jusqu'à l'oreille. Gaston trouve ça bizarre. Ils sont tristes, Ils n'ont peut-être pas grand chose à se mettre sous la dent, pense t'il, le béton n'est pas très productif.

    Et voilà Gaston offrant une poignée de cerises aux jolies femmes, ses pommes plus ou moins flétries aux autres voyageurs, mais personne n'ose les accepter. Elles sont peut-être sales, voire empoisonnées avec ces petites tâches noires semblant suspectes. De plus, elles ne brillent pas comme celles du supermarché, si c'est du bio combien va-t'il nous les faire payer. Et ses cerises, chaque voyageuse les dénoyaute afin de vérifier s'il n'y a pas de ver dedans, sait-on jamais.

    Au bout de dix minutes certains se relâchent les yeux écarquillés. La tentation les pousse à goûter à la bonne manne du jour sans retenue. Il y a bien longtemps qu'ils n'ont pas croqué la pomme, surtout de cette sorte. Quelques dentiers ne s'en remettent pas de ce goût et cette fermeté si incomparables.

    Voilà certains se remémorant leurs souvenirs d'enfance sous le pommier des grands parents entamant la conversation, affirmant que les clafoutis d'avant étaient bien meilleurs et tout le reste d'ailleurs. Ah, une larme de nostalgie passe par là. Si bien que de nombreux voyageurs ont raté leur station, pas grave, ils croqueront une pomme de plus. Il y a même un couple qui invite Gaston à passer la soirée à la maison, ce qu'il ne refuse pas. Il est curieux de voir comment vivent ces gens tristes et coincés.

    Peut-être vont-ils se dérider comme les pommes de son panier.

    Annick D

  • Atelier écriture : Autant emporte le vent

    Texte libre

    Quel bon vent t’amène ! depuis le temps qu’on s’est pas vus, le temps a changé. La dernière fois, on s’est croisé en coup de vent…. On peut déjeuner ensemble, j’avais préparé un vol au vent, il en reste. Si t’es pas pressé, on peut marcher le long de la plage. Il y a toujours du vent, mais l’odeur de la mer !!! que c’est bon… En attendant, devant toi il y a le frigo. Prend la bouteille de skye et sers nous. Tu ne vas pas me dire bon vent, retournes chez ta mère !!!. Si tu as trop chaud, j’ai un gros ventilo. Je l’avais acheté chez tout à 10 balles le kilo... Du vent artificiel très efficace. Si tu veux, je te le revends. Vendredi dernier j’ai vendu un vieux bouquin. Vendredi de Robinson Crusoé… Ravi de t’avoir revu. Avant de repartir, attention au vent qui souffle. Ne te laisse pas emporter par le vent.. Mes paroles c’est pas du vent, mais ça s’envole…

    Éolienne, Ventilateur, Aérateur, Turbine, Soufflette, Pompe, Compresseur, Tornade, Éventail, Hélicoptère, Etre humain, Moulin à vent, Pression atmosphérique, Girouette Aspirateur.

    Moi une girouette ? pourquoi pas, mais plutôt une tornade. Je fonce, je file, comme si j’avais une turbine qui me souffle. Une éolienne, c’est nul à côté. J’arrête pas de tourner en rond, comme un ventilateur... Je fais du vent. Mais poussez vous !!, je suis pompé…

    Yves ck

  • Atelier écriture "Inclure titres chansons"

    Inclure dans un texte 6 titres de chansons dites chansons cultes françaises.

    C'est extra : Léo Ferré
    Belle-Ile -en-mer : Laurent Voulzy
    Quelque chose de Tennessee : Johnny Hallyday
    La quête : Jacques Brel
    Ils s'aiment : Daniel Lavoie

    1er texte

    Faux départ

    Ces deux là, accoudés sur la rambade de la jetée, ils s'aiment ….mais depuis combien de temps ? Je les regarde et je les envie. S'aimer comme ça, serrés l'un contre l'autre, c'est extra.                             

    Je suppose qu'ils attendent le bateau pour Belle-Île-en-Mer.

    Est-ce un couple, un vrai ou bien, est-ce une escapade incognito ?

    L'homme, élégant dans son jean cintré et sa chemisette Lacoste a l'air d'un cadre supérieur fatigué. Il veut se ressourcer à Belle-Île. C'est bien connu…..le blues du businessman s'évanouit face à la mer en tirant des bords sur un fringant voilier.

    La femme, vêtue de cuir (blouson, pantalon et boots) a quelque chose de Tennessee. D'ailleurs, elle parle avec un accent américain. Elle murmure des "I love you" mais l'homme est ailleurs.

    Il est à la recherche d'un bonheur qui lui échappe. Cette quête perpétuelle le hante. Il est découragé. Quand le bateau est prêt à lever l'ancre, l'homme prend son sac, enlace la fille et lui demander de rester là.

    -"Je pars seul, je préfère ne pas te faire souffrir."


    2è texte

    Relax à Belle-Île

    Belle-Île-en-Mer, je vous le dis, c'est extra !

    Tout est organisé pour soulager le blues du businessman.

    Ceux qui sont en quête de tranquillité seront heureux d'apprendre que nous sommes à l'Ouest… il y a quelque chose de Tennessee dans le folklore breton !

    Ici, c'est la détente…… regardez tous ces rescapés du burn-out. Aujourd'hui, ils s'aiment

    Marie Dp

  • Atelier écriture mars 2018

    À partir de 6 chansons françaises classées dans les 100 meilleures, et tirées au sort, composer un texte incluant les 6 titres. Les 6 chansons à intégrer sont :
    Ne me quitte pas (1)
    Douce France (2)
    Si, maman si (3)
    Les roses blanches (4)
    Une belle histoire (5)
    Femmes, je vous aime (6)

    Voici le 1er texte, classique :
    Ma douce France (2),
    Tu viens de nous quitter, et pourtant, combien de fois t’ai-je crié "Ne me quitte pas (1)". Toi qui à 3 jours près avait le même âge que moi. J’ai annoncé ton décès à ma mère, qui connaissait notre belle histoire (5) fictive et elle ne m’a pas cru ! J’ai insisté, si, maman, si (3) elle est morte et partie …. avec mes dizaines de roses blanches (4). Quand je pense à ma jalousie, quand ton ex-amoureux crie "femmes, je vous aime (6)" et je savais pertinemment qu’il pensait surtout à toi. Adieu ma France..

    J’ai également fait un autre texte avec les mêmes chansons, mais sur le principe des Homophonies approximatives. C’est-à-dire que certains mots ou phrases sont remplacés par des mots ou phrases…. au son approchant.

    Voici le 2ème texte :
    Je ne fais rien à la maison, ma mère s’occupe de tout. Flemmes, je vous aime (6). À ma mère, je crie "Scie, maman, scie (3)" les grosses planches (4) et aussi fais nous de la cuisine. Une poire belle Hélène mieux qu’une histoire belle (5) de laine. Et si tu fais un gâteau… ne le cuites pas (1) trop et fais le très grand, qu’on puisse en couper … douze tranches (2).

    J’espère que ces textes vont donneront envie, vous aussi, de jouer avec les mots et les sons.

    Jean O.