Chantez, vous êtes accompagnés !
Une soirée "Piano qui chante" pour tous, chanteurs ou pas, le mardi 14 octobre 2008 à 20h aux Terrasses de Bel-Air, 6 avenue Maurice Ravel à Paris 12è. Entrée libre.
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Chantez, vous êtes accompagnés !
Une soirée "Piano qui chante" pour tous, chanteurs ou pas, le mardi 14 octobre 2008 à 20h aux Terrasses de Bel-Air, 6 avenue Maurice Ravel à Paris 12è. Entrée libre.
Basilique fondée en 507 par Clovis, destinée à abriter sa sépulture et celle de son épouse Clotilde.
Geneviève, la pieuse, patronne de Paris y est inhumée en 512.
À la suite d'une guérison, ayant imploré Sainte Geneviève, Louis XV fit un voeu, celui de lui consacrer un édifice prestigieux. L'architecte Soufflot réalise une nouvelle basilique, rivalisant avec Saint -Pierre de Rome.
En 1791 l'église devient Panthéon national laïque. Par deux fois au cours du 19ème siècle, il retrouve sa vocation chrétienne, puis destination civique en 1885 pour les funérailles de Victor Hugo.
L'intérieur imposant, impressionnant par son immensité, sa hauteur, est fort décoré. Sur tous les murs des peintures "marouflées" évoquent la vie de Sainte Geneviève, le baptême de Clovis, Charlemagne, Saint-Louis, Jeanne d'Arc, la vie de Saint-Denis....
De très bon matin
Et pleins d'entrain,
Nous voilà décidés
À passer une bonne journée,
Comme les autres années
À notre vide-greniers.
Avant que ne passent les bus,
Le boulevard de Picpus
Désert, nous accueille.
Pas un chat, ni chien, pas une feuille !
Notre emplacement trouvé
Allées et venues pour y déposer
Paquets et colis,
Qui a joué le rôle de "Manda" dans le film "Casque d'Or" ?
Qui a joué dans "Casque d'Or" le rôle de Leca
Qui a joué "Casque d'Or" ?
Réponse jeudi prochain
À vous de jouer n° 7
Quel roi fit construire Château Gaillard ?
Quel grand écrivain visita en 1835 l'abbaye de Jumièges "la plus belle ruine de France" ?
Où Jeanne d'Arc fut-elle brûlée à Rouen le 30 mai 1431 ?
Après avoir évoqué les danseurs dans différentes présentations, j'en étais restée à ce comédien danseur qui m'a "emballée" et pour cause ! François Genty danse le butô, de source japonaise. Il interprêta ce dimanche une création à la fois dure, poétique, difficile et fascinante, durant pas loin de trente minutes.
Imaginez un personnage habillé dont on ne voit pas la tête, cachée sous un très haut rouleau de papier d'emballage, qui avance à tâtons (car il ne voit rien), là tout près du public.
Par des gestes extrêmement lents il commence sa démonstration, debout, fait glisser le rouleau sur ses épaules, entrer son corps dans ce tube qu'il fait descendre jusqu'aux pieds, tout en se déshabillant, puisqu'il en sortira dévêtu par un jeu de cache-cache dans cette immense feuille dépliée. Le voilà debout, avec des gestes d'une impressionnante lenteur il se déplace, un certain temps pour récupérer une bouteille d'eau qu'il se verse sur la tête. Trempé il continue ses allées et venues (on se demande où il veut en venir).
Il retrouve son papier, culbute, l'attrape, le déchire avec ses dents, un morceau reste dans sa bouche. Il se relève toujours extrêmement doucement, sa tête se tourne légèrement, son regard est fixe, le voilà qui s'approche d'une mamy spectatrice, son visage aux yeux fixes fait presque peur. La dame doit libérer les lèvres de leur fardeau.
Il a les cheveux englués d'une matière noire, ses mains sont sales de ce noir, il s'approche, s'assied à côté d'elle, semble bien, là. Puis il se lève, lui tend la main, et l'attire; l'entraîne avec lui ; la dame suit, mais il va au sol, toujours d'une façon démultipliée, alors il lâche cette "main chérie" et va se réfugier sous son grand papier, par des contorsions il s'enroule, l'attrape avec violence, le martyrise, ce qui donne un bruit surprenant après tant de calme.
Quant il se relève, la matière noire s'est répandue sur son visage, il a le nez noir, un côté de joue barbu, son thorax est maculé, mais toujours avec ce regard figé qui l'habite, il recule, recule, pour arriver le dos contre la barrière. Par une acrobatie, une culbute, remonte les jambes, passe par dessus cette porte, disparaît dans le creux de l'escalier, réapparaît petit à petit pour continuer toujours en arrière, agripper la balustrade du kiosque, grimper face au public, enjamber la rampe tout en nous fixant, finira par lâcher prise. A reculons quittera "la scène" laissant une sacrée impression de mal être.
De cette séquence très spéciale, j'ai cru comprendre que cet être venu d'ailleurs ou différent avait eu un moment de bonheur, puis contrarié, déchiré par l'impossibilité, la séparation, il se bat contre lui-même, se blesse, s'en va et disparaît dans l'au-delà.
La présentation poétique, acrobatique reflête le travail d'un artiste complet qui emploie l'art de la comédie, du mime, du clown, de la danse, de la culture physique. Pourtant il n'a rien d'un athlète! Jeune, de petite taille, menu "fait au moule" si j'ose dire. Il ne lui manquait qu'une chose. .. la parole! Bravo François Genty, votre personnage, c'était lui le gentil !
Ninette
En 1672 Madame de Brinvilliers, la célèbre empoisonneuse logeait dans le quartier de Picpus près de la rue de Reuilly, avant de s'enfuir en Angleterre puis en Belgique où la police de Louis XIV se saisit d'elle.
Près de ce lieu qui n'existe plus, le Docteur Petiot acheta et loua, avant la 2ème guerre mondiale un appartement au 52 rue de Reuilly.
Par ce dimanche ensoleillé la danse nous a été présentée sous différents aspects.
Contemporaine mêlant d'innombrables et multiples mouvements de danse, gymnastique, travail au sol, enchaînements par trois danseurs.
Plus classique la démonstration d'une valse avec possibilité de participation du public, entraîné par le couple de danseurs.
Suivit le folklore, avec une danse "bollywood" indienne endiablée mêlant grâce, subtilité dans les mouvements, suivant une musique aux tonalités orientales : harmonie parfaite d'un beau couple costumé, qui s'est prêté à l'initiation envers un public volontaire.
La danse africaine avec musiciens aux percussions. Là aussi, sur un rythme saccadé, entraînant, blancs et noirs à égalité dans la démonstration du travail du corps, pratiqué avec bonheur, celui-ci, reflêté sur leurs visages aux larges sourires, et la bonne humeur qui se dégageait dans tous les épisodes de leurs ballets. Ce sont eux qui ont clôturé cet après-midi de divertissement, démontrant passion et travail.
Mais avant de terminer ce tour d'horizon, non, je n'ai pas oublié ce garçon qui m'a "emballée" par sa prestation en début de séance, ce comédien danseur François Genty. Je lui consacre mon prochain article.
Ninette
Vous avez aimé Claudio Zaretti et Bernardo Claus en 2ème guitare, voici leurs prochains concerts :
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Réponse jeudi prochain
À vous de jouer n° 6
Qui a dit :
"C'est légal parce que je le veux
"Ô liberté, que de crimes on commet en ton nom ?
"Tout ce que j'ai fait est par commandement de Dieu ?
Le cabaret de Montmartre dont le nom évolua "la peint A.(André) Gill devint "Le lapin à Gill", puis "Le lapin Agile"!...