En peinture, qu'est-ce qu'un repentir ?
- Une partie d'un tableau repeinte par son auteur pour en changer l'apparence
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
En peinture, qu'est-ce qu'un repentir ?
Ce livre qui a obtenu le prix Renaudot 2017 nous raconte l’odyssée absolument dantesque de Joseph Mengele, l’ancien médecin tortionnaire d’Auschwitz qui tout d’abord veut s’inventer une nouvelle vie à Buenos-Aires avant de s’enfuir au Paraguay puis au Brésil. Il mourra mystérieusement sur une plage brésilienne le 7 février 1979.
Lors de cette lecture vous y croiserez d’anciens nazis, des agents du Mossad, des dictateurs (Peron...) des hommes et des femmes cupides évoluant dans un monde corrompu par l’argent, l’ambition ou le fanatisme.
Un livre à ne pas oublier, poussant à la méditation.
Jean-Paul
Après la st-Sylvestre
Se profile la galette,
Fêter les rois
Pourquoi pas ?
C’est surtout l’occasion
D’une grande réunion,
Afin de retrouver
En ce début d’année,
Quelques éloignés ou absents
Depuis un certain temps.
Mais suit à l’horizon
Une autre tradition.
En ce dimanche, je pense
Du boulot, on s’en balance !
Et çà c’est chouette,
Vive notre “Bonne franquette”
Journée à ne rien faire
Tout pour nous plaire !
Puis en février demeure
Celle de la Chandeleur,
Et ces bonnes crêpes
Nées des mains expertes
De nos adhérents(es),
Ainsi régaler les gourmands(es)
Sans faire grande ripaille
Rien de tel, pour les retrouvailles.
2018 aura bien commencé
Alors, Prêts à continuer ?
Ninette
Anders Leonard Zorn, né à Mora (Suède) le 18 février 1860 et mort à Stockholm le 22 août 1920, est un peintre, graveur et sculpteur suédois.
Son originalité se manifeste dans une œuvre marquée par la vie et les atmosphères. Il est connu pour ses peintures liées de la campagne suédoise, par ses portraits et par ses nus ainsi que par ses représentations de l'eau. Il est avec Carl Larsson le peintre le plus populaire de Suède.
Un musée, abritant la collection Zorn, lui est consacré à Mora.
Lire la suite ICI
À la Philharmonie de Paris (jusqu’au 28 janvier 2018)
En ce samedi lugubre de décembre, la même passion pour La Longue Dame Brune nous réunissait, Arlette, Yves, Annick et moi. Nous n’allions pas être déçus grâce à la très belle exposition "Barbara" de la Philharmonie de Paris…
Nous pénétrions l’antre de Barbara : vastes pièces aux murs tendus de velours sombres, lumières tamisées, baignées des chansons des époques successives.
Au fil des salles - sans être aucunement dérangés par les nombreux visiteurs - nous découvrions votre vie, Barbara, à travers photos, films, lettres. Votre enfance, votre jeunesse, vos voyages, vos tournées…
Nous vivions vos débuts ô combien difficiles, vos Amours tourmentées, vos complicités, votre solitude, vos succès, vos larmes, vos rires… la Vie que vous avez si bien dite en chansons…
Nous vous devinions dans vos longues robes noires de scène et vos escarpins exposés devant nous.
Puis nous déboulions dans votre jardin reconstitué de Percy, dans le salon garni du piano et de vos objets familiers.
J’étais avec Barbara, je vivais ses troubles, ses peurs, ses passions, ses colères, ses joies, oubliant mes amis… Pardon, Arlette, Yves, Annick : sans vous saluer, j’ai refait le tour. J’étais envoûtée, imprégnée de La Longue Dame Brune. Je ne pouvais pas ressortir.
Fascinante, énigmatique, frénétique, libre et drôle aussi (lorsque je vous voyais tricoter sans fin dans vos longs voyages en voiture.)
Tellement belle, tellement riche, vous étiez, vous êtes, Madame Barbara à la Voix Magique ! Telle je vous imaginais, telle je vous ai perçue à travers cette exposition exceptionnelle. Vous ne m’avez pas déçue, Grande Madame. Je vous ai retrouvée à la Philharmonie. J’ai vécu avec vous 2 heures d’une grande intensité.
"Il ne faut pas continuer sa vie, Il faut chaque fois la recommencer." Barbara.
Martine C qui félicite et remercie les organisateurs.
En peinture, qu'est-ce qu'un repentir ?
Réponse lundi prochain
Si l'on pouvait craquer une allumette dans une pièce remplie uniquement de méthane, que se passerait-il ?
Partout on entendit
“Bon réveillon”
En particulier on m’a dit
“Bon réveillon”
On se souhaitait, pardi
“Bon réveillon”
Mais auparavant avisés,
Fallait ne pas manquer
De bien s’y préparer.
Déjà envisager
De moins manger,
Pour avoir la possibilité
De pouvoir aisément rentrer
Dans le vêtement ceinturé,
Et bien sûr apprécier
Le menu convoité.
Puis il fallait se pomponner,
Le petit truc à trouver
Qui allait refléter
Les lumières de la soirée,
Forcément bien terminer
Cette année passée
A la fois, bien débuter
La nouvelle annoncée.
Mais sans oublier
Arvem à remercier
Pour cette bonne idée,
Celle d’avoir pu réveillonner
Entre Arvemois, en gaieté,
Au lieu d’être restés
Confinés, chez soi, isolés
Probablement devant la télé.
Des bonnes occasions il faut profiter
Dont Arvem fait sa renommée.
Que 2018 soit dans la lignée
D’offrir de belles opportunités
Après ce bon réveillon passé.
Comment s’est-il déroulé ?
Pas loin, Porte Dorée,
Fort bien, table de qualité,
Par le DJ ambiance assurée,
Espace dégagé pour danser
Oh ! Combien occupé !
Par d’heureux attirés
Vers les rythmes variés,
Rappelant nos jeunes années !
Quoi de plus se souhaiter ?
À TOUS
UNE TRÈS BONNE ANNÉE
Ninette
Albert Dupontel auteur du film “Au revoir là-haut” signale qu’il a été époustouflé par l’histoire (il y a du Dumas dans la narration) et l’écriture (il y a du Céline dans ce pamphlet social), que dire de plus.
Si vous n’avez pas lu ce roman de Pierre Lemaître qui reçut le Prix Goncourt 2013, vous savez ce qu’il vous reste à faire.
Jean-Paul
Jusqu’au 17 février dans la salle St-Jean de l’Hôtel de Ville vous pouvez sans bourse déliée aller vous souvenir de Ernesto Guevara pour qui “Visiter Paris est une nécessité biologique, un objectif auquel il m’est impossible de renoncer me faudra-t-il traverser l’Atlantique à la nage”.
Il réalisa son rêve dans les années 1963-64 et 65. Il pût ainsi se rendre au Louvre admirer “La nef des fous” de Jérôme Bosch, tableau qu’il mettait au-dessus de tout.
En visitant cette exposition vous rendez hommage a un grand admirateur de notre belle capitale.
Jean-Paul