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On connait tous… mais l’Homme, l’être humain, côté cœur… un père à qui sa fille parle de mariage alors qu’il ne l’a vue grandir, occupé par ses constructions de ponts… Puis une femme, un grand amour, fougueux et dramatique qui ressurgi au moment où son projet de tour s’éveille…
Un homme qui sans bluffer ses ouvriers, parce que pas un sou pour les payer, leur demande l’effort, de bâtir en 15 jours ce qui était prévu en un mois…
Un homme qui construit une Tour tout en métal, haute de 300 m, sans accident !! alors que si fréquents pour les ponts.
Un homme d’avant-garde, qui prévoyait, la Tour, comme la représentation de Paris et plus encore, de la France, avec des milliers de touristes venant la voir, même des nouveaux mondes ? ! Il avait bien vu juste, aujourd’hui, nous en sommes convaincus. Mais cet individu que laisse paraitre le film, est tout simplement un homme devenu grand… de 300m, et plus.
Ce film aborde la fin de vie. Avoir le choix de quitter cette vie sans intérêt, refuser la souffrance, la dépendance, partir en paix. Par quel moyen ? Demander de l'aide à un proche. Non, il y a la loi, le corps médical décide pour vous, pense pour vous, ne vous écoute pas. Les proches souffrent aussi, se sentent coupables.
Comme nous décidons de notre chemin de vie, nous devrions choisir en toute conscience le jour où nous voulons l'arrêter.
Les lecteurs qui ont apprécié "Alias Caracalla" qui relate la vie de Daniel Cordier résistant jusqu'à la capture de Jean Moulin à Caluire en juin 1943 ne peuvent qu'être intéressés par "La victoire en pleurant" qui nous conte ses pérégrinations après cette catastrophe.
Il nous révèle un "chemin de la liberté" bien difficile "ceux de Londres" étant reçus bien difficilement par les "libérateurs" de 1944.
Un livre bien intéressant et parfois bien surprenant.
J'ai voulu avant la confrontation entre Eric Zemmour et Jean-Luc Mélenchon jeudi soir sur BFMTV connaître au plus près les idées d'Eric Zemmour.
Le livre se lit facilement j'ai donc pu le terminer avant l'émission. Ne comptez pas sur moi pour vous relater mes impressions sur ses idées politiques, mais par contre, ma surprise; on est trimbalé de restaurants en brasseries.
Je le soupçonne de vouloir être critique gastronomique si la politique lui joue de mauvais tours. Je plaisante bien sûr. C'est toujours ça de pris avant les nombreux débats qui nous attendent.
Voulant connaître après rénovation ce qui a été réalisé à partir des salles sur le Paris Révolutionnaire, j'ai couru sans réservation, à tout hasard, au Musée Carnavalet récemment ré -ouvert. "Il va falloir réserver en ligne" m'a dit quelqu'un.
Fort de mes précédentes visites à la Maison de Victor Hugo et à l'exposition Napoléon de la Villette, j'ai tenté ma chance sans réservation. Bien m'en a pris à l'entrée du Musée j'ai obtenu un billet sans problème.
Je me suis dirigé (en suivant les flèches) sans hésitation vers les salles révolutionnaires. Je n'ai pas été déçu. La présentation est plus aérée, les objets témoins historiques bien mis en valeur (l'échelle de Latude, la Bastille sculptée et bien d'autres)
Le tout est agrémenté de nombreux écrans où le visiteur est submergé de commentaires dus à des spécialistes et de documents qu'il peut consulter en touchant la piste adéquate.
Ainsi je craignais la disparition des gouaches révolutionnaires de Lesueur. Eh bien non ! Plus de salle entièrement tapissée de gouaches, mais une présentation interactive qui vous donne toute explication et illustration sur ces gouaches qui vous rendent la Révolution si proche et si vivante.
Un vrai régal pour l'amateur de cette période. Je suppose que la rénovation suit la même voie dans les autres périodes (clarté et modernité).