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paris - Page 306

  • Musée des Lettres et Manuscrits

    Deux expositions au Musée des Lettres et Manuscrits.

    Sur-la-route-kerouac-livre-sur-la-route.jpgTout d'abord jusqu'au 29 août dans une exposition intitulée "Sur la route de Jack Kerouac" est exposé le rouleau de 36m sur lequel Kérouac a tapé à la machine à écrire "Sur la route" entre le 2 et le 22 avril 1957. Pour le moins décapant.

    Ensuite tout en n'oubliant pas de vous pencher sur les multiples documents autographes des plus grands écrivains (V. Hugo, G.Sand...) musiciens (Mozart, Beethoven ...) scientifiques (Curie, Einstein...) et rois (Charles VII, François Ier...) vous profiterez jusqu'au 29 août de titanic-100-ans-aprc3a8s-exposition1.jpgl'exposition "Titanic 100 ans après" qui présente une vingtaine de documents et manuscrits dont celui d'Helen Churchill Candee qui a inspiré James Cameron pour le personnage de Rose dans son film.

    Jean-Paul

    Musée des Lettres et Manuscrits

  • Lire "Le Monarque, son fils, son fief"

    paris,livre"Il faut nettoyer les écuries d'Augias" se serait exclamé "l'Arménien" (Patrick Devedjian) en parlant des Hauts-de-Seine le fief initial du "Monarque" (Nicolas Sarkozy, dit aussi Rocky). Celui-ci gardant un oeil sur cette "Principauté" compte faire le nécessaire pour virer ledit Arménien et mettre, aidé de ses amis, les Thénardier, (le couple Balkany) son fils le Dauphin, à sa place.

    Marie-Célie Guillaume directeur de cabinet de Patrick Devedjian, nous raconte toute cette histoire dans "Le Monarque, son fils, son fief " où la politique n'a rien à envier aux romans policiers.

    Jean-Paul

  • Lire "Femmes 2 dictateur"

    Ce livre de Diane Ducret vient complèter "Femmes de dictateur".

    paris,livre"Femmes 2 dictateur" nous fait vivre dans l'intimité de dictateurs plus proches de nous, certains de moindre envergure, un d'entre-eux encore vivant (Castro).

    J'avoue avoir eu du mal à me retrouver au milieu des femmes, maîtresses ou simples relations de certains d'entre-eux (Kim Jong-il, Saddam Hussein, Oussama Ben Laden, Fidel Castro). Le parcours amoureux de Milosevic (ainsi que celui de l'iman Khomeini) étant plus simple et moins chaotique, permet de mieux suivre l'histoire et de s'intéresser au rôle important joué par Mira Markovic son influente épouse.

    Jean-Paul

  • Film "Adieu Berthe"

    Ni triste, ni drôle, même si l'on sourit par moment, un type plus que paumé, très indécis, se met dans des situations impossibles à affronter, entre-autres, d'une manière cocace, le choix des obsèques d'une ailleule surprenante...

    Pour Denis Podalydès et "ses femmes" je vous invite à voir ce film "noir rosé".

    Ninette

  • Hauteur des immeubles

    parisparis

     

     

     

     

     

     

    Dans le code de l'urbanisme, la hauteur des immeubles est règlementée et proportionnelle à la largeur de la rue. Plus la rue est large plus l'immeuble peut monter en hauteur. C'est ainsi que l'immeuble au dessus du Simply Market place Félix Eboué comporte 5 étages de plus dans sa partie donnant sur la place que dans sa partie construite sur le Boulevard de Reuilly (moins large que la place).

    Françoise J.

  • La déroute

    La promenade organisée fin mai, nous nous sommes réunis sur le parvis de Saint-Sulpice avec quelques difficultés... car... tout était contre nous !

    On n'a pas idée de vouloir se balader durant le grand week-end de la Pentecôte, par, de surcroît, une météo digne du plein été, attirant touristes et promeneurs en grand nombre !

    parisDe plus, comme par hasard, c'était le jour des communions, donc foule devant l'église Saint-Sulpice où les familles se retrouvent, sans parler d'un important marché d'antiquités sur la place même, où les chineurs affluent évidemment.

    Bref, un monde du diable partout, et de ce marché, pour compliquer un peu plus, les tentes des stands qui offraient un horizon bouché.

    À l'heure prévue du rassemblement le groupe essaie de se frayer un chemin vers le porche à l'ombre, pendant que j'attends à l'opposé de la place, les retardataires éventuels... qui ne sont jamais venus d'ailleurs !

    Comme si cela ne suffisait pas, je ne peux résumer cette promenade ayant perdu le guide, parti en tête avec son monde, alors que quelques-unes prises d'une initiative malencontreuse manquaient à l'appel. Faisant demi-tour, désespérément j'ai dû attendre pour les récupérer.

    Une fois la chose faite, précipitation à la clef pour rejoindre les autres. Plus personne de connu dans cette foule. "Nous les égarées" l'étions un peu plus, livrées à nous-mêmes, déconcertées... l'après-midi prévue tombait à l'eau.

    Par la suite mon p'tit doigt m'a dit que tous avaient contourné le marché pour retrouver "les troublions" ce qui rallongeait et retardait la promenade : un vrai jeu du chat et de la souris !

    Figurez-vous que ce n'est pas tout !

    parisSur le Pont des Arts, également encombré de badauds, artistes, peintres, l'attrait de cette passerelle littéralement envahie de cadenas si brillants sous le soleil, attirèrent par leur symbole, quelques personnes qui voulurent les voir de plus près et déchiffrer leurs inscriptions.

    Du coup ! Bingo ! Encore des paumés ! Un vrai bazar cet après-midi là !

    Ninette

  • Expo "Eugène Atget, Paris"

    paris,expositionFormidable exposition au musée Carnavalet sur « le Paris d’Eugène ATGET ».

    Né en 1857, il s’est lancé dans la photographie à l’âge de 35 ans et a fait des clichés de tout le Paris populaire : charrettes à cheval, charrettes à bras, les cabarets et cafés, les marchands de vins et liqueurs, les petits métiers (marchands ambulants d’abat-jour, vendeuses de mourons et d’herbes…), les devantures de boutiques, les immeubles au petit jour et des détails comme des rampes d’escaliers d’hôtels particuliers ou des heurtoirs… Tout un monde à présent disparu…

    Images d’une netteté incroyable, en sépia et sans agrandissement, il réalisait tout lui-même depuis la prise de vue jusqu’au développement.

    C’est un véritable documentaire sur le Paris du tout début du 20ème siècle à ne pas rater. Un nombre impressionnant de clichés et il faut prévoir 1 heure au moins de visite si on veut tout regarder et savourer.

    Exposition jusqu’au 29 juillet 2012.

    Colette C.