Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

paris - Page 294

  • La déroute

    La promenade organisée fin mai, nous nous sommes réunis sur le parvis de Saint-Sulpice avec quelques difficultés... car... tout était contre nous !

    On n'a pas idée de vouloir se balader durant le grand week-end de la Pentecôte, par, de surcroît, une météo digne du plein été, attirant touristes et promeneurs en grand nombre !

    parisDe plus, comme par hasard, c'était le jour des communions, donc foule devant l'église Saint-Sulpice où les familles se retrouvent, sans parler d'un important marché d'antiquités sur la place même, où les chineurs affluent évidemment.

    Bref, un monde du diable partout, et de ce marché, pour compliquer un peu plus, les tentes des stands qui offraient un horizon bouché.

    À l'heure prévue du rassemblement le groupe essaie de se frayer un chemin vers le porche à l'ombre, pendant que j'attends à l'opposé de la place, les retardataires éventuels... qui ne sont jamais venus d'ailleurs !

    Comme si cela ne suffisait pas, je ne peux résumer cette promenade ayant perdu le guide, parti en tête avec son monde, alors que quelques-unes prises d'une initiative malencontreuse manquaient à l'appel. Faisant demi-tour, désespérément j'ai dû attendre pour les récupérer.

    Une fois la chose faite, précipitation à la clef pour rejoindre les autres. Plus personne de connu dans cette foule. "Nous les égarées" l'étions un peu plus, livrées à nous-mêmes, déconcertées... l'après-midi prévue tombait à l'eau.

    Par la suite mon p'tit doigt m'a dit que tous avaient contourné le marché pour retrouver "les troublions" ce qui rallongeait et retardait la promenade : un vrai jeu du chat et de la souris !

    Figurez-vous que ce n'est pas tout !

    parisSur le Pont des Arts, également encombré de badauds, artistes, peintres, l'attrait de cette passerelle littéralement envahie de cadenas si brillants sous le soleil, attirèrent par leur symbole, quelques personnes qui voulurent les voir de plus près et déchiffrer leurs inscriptions.

    Du coup ! Bingo ! Encore des paumés ! Un vrai bazar cet après-midi là !

    Ninette

  • Expo "Eugène Atget, Paris"

    paris,expositionFormidable exposition au musée Carnavalet sur « le Paris d’Eugène ATGET ».

    Né en 1857, il s’est lancé dans la photographie à l’âge de 35 ans et a fait des clichés de tout le Paris populaire : charrettes à cheval, charrettes à bras, les cabarets et cafés, les marchands de vins et liqueurs, les petits métiers (marchands ambulants d’abat-jour, vendeuses de mourons et d’herbes…), les devantures de boutiques, les immeubles au petit jour et des détails comme des rampes d’escaliers d’hôtels particuliers ou des heurtoirs… Tout un monde à présent disparu…

    Images d’une netteté incroyable, en sépia et sans agrandissement, il réalisait tout lui-même depuis la prise de vue jusqu’au développement.

    C’est un véritable documentaire sur le Paris du tout début du 20ème siècle à ne pas rater. Un nombre impressionnant de clichés et il faut prévoir 1 heure au moins de visite si on veut tout regarder et savourer.

    Exposition jusqu’au 29 juillet 2012.

    Colette C.

  • Napoléon 1er : Lettre manuscrite rédigée en anglais

    Dimanche 10 juin, une lettre manuscrite, rédigée en anglais par Napoléon 1er, le 9 mars 1816 alors en exil sur l'île de Sainte-Hélène, vient d'être achetée par le Musée des Lettres et manuscrits de Paris pour 325 000€.

    Cette lettre d'une quinzaine de lignes, avec cachet de cire rouge aux armes impériales, est adressée au Comte Emmanuel de las Cases.

    Jeanet

  • Lire "Les dessous de la campagne"

    paris,livreSi vous voulez connaître les coulisses de l'élection présidentielle 2O12 n'hésitez pas, achetez et dévorez dans la foulée "Les dessous de la campagne" de Laurent Neumann directeur de l'hebdomadaire "Marianne".

    Ce n'est pas un Sarkozyste primaire, c'est le moins que l'on puisse dire, mais pas non plus un Hollandais béat. Cela nous donne un livre équilibré parfait miroir de cette campagne présidentielle si animée.

    Jean-Paul

  • Concert de la chorale du Bel Air

    paris,concertJeudi 21 juin 2012 à 20 h (Entrée libre)

    au Centre d’animation Maurice Ravel
    6, avenue Maurice Ravel
    75012 PARIS

    Venez nombreux écouter et encourager trois choristes et adhérents Arvem.

    Un programme varié vous y attend interprété par les deux chorales (débutants et confirmés). Une grande partie de ce concert sera consacrée à Mozart avec des nocturnes, le Laudate Dominum pour soprano, chœur et orgue, et l’Ave Verum pour lequel un quatuor à cordes fera l’honneur d’accompagner les choristes.

    À très bientôt nous l'espérons.

    Colette, Huguette et Philippe

  • Boris Vian et le tube

    Actuellement le mot "tube" désigne une chanson à succès mais à l'origine il désignait une chanson à succès dont les paroles étaient creuses comme un tube.

    Il semblerait que ce soit Boris Vian qui ait introduit ce terme lorsqu'il était directeur artistique de la Maison Philips en 1957. À l'époque une chanson à succès était appelée "saucisson", terme qu'il n'aimait pas et qu'il remplaça par "Tube".

    Jeanet

  • Expo "Les Belles Heures du Duc de Berry"

    paris,expositionJusqu'au 25 juin Le Louvre expose "Les Belles Heures du Duc de Berry" superbe ouvrage oeuvre des frères de Limbourg comme les célèbres "Très Riches Heures du Duc de Berry".

    Tous les amoureux du Moyen Age ne peuvent que se précipiter au 1er étage de l'aile Sully pour scruter tout à loisir les superbes miniatures des frères de Limbourg retraçant la vie du Christ, de Ste Ursule ou de St Antoine, entre-autres en 47 feuillets.

    Les manuscrits exposés avec les Riches Heures, comme la Légende Dorée de Jacques de Voragine nous replonge dans l'atmosphère des scriptoriums du "Nom de la rose". Le catalogue de l'exposition est absolument splendide.

    Jean-Paul

  • Expo "Berthe Morisot"

    paris,expositionVous avez jusqu'au 29 juillet pour vous rendre au Musée Marmottan-Monet (métro La Muette) pour aller admirer les peintures qui jalonnent la carrière de la plus illustre des femmes impressionnistes : Berthe Morisot.

    De cette oeuvre si abondante et diverse, j'ai pour ma part particulièrement relevé les portraits de sa petite Julie et la cueillette des cerises dans "Le cerisier".

    Il est bien d'autres sujets dont vous ne pouvez qu'être admiratifs. Une exposition à ne pas manquer.

    La collection permanente reste, bien entendu, visible : Monet "Impression soleil levant" Caillebotte, Renoir, Sisley... Un régal qui complète bien ce voyage en terre impressionniste.

    Jean-Paul