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  • Musée de Jouy-en-Josas

    Avec un tel projet de visite nous ne pouvions qu'être "enjoués". Le Musée de la toile imprimée, ne pouvait que nous "impressionner" par la présentation de cette manufacture ancienne, qui créa des kilomètres de tissus colorés, en vogue depuis Louis XV jusqu'à l'Empire.

    Des tissus aux traits précis, des dessins formés de lignes fines, produit extraordinaire du cuivre gravé.

    En général, nous connaissions plus ou moins le nom d'Oberkampf, si ce n'est que par la station de métro sur une ligne populaire !...

    Là, nous sommes entrés dans la vie de l'entrepreneur qui enchanta les plus illustres "lignées" de son époque, par ses étoffes de coton peintes (à l'origine, les Indiennes, dont l'importation et la production étaient interdites depuis Louis XIV). La prohibition fut levée sous Louis XV, c'est ainsi qu'Oberkampf graveur et coloriste à Mulhouse, est venu sur Paris dans le but de s'installer.

    Grâce à ce génie qui bouscula la fabrication artisanale en une production industrielle, ses étoffes connurent la gloire tant pour l'ameublement (plutôt les scènes) que pour le vêtement (motifs floraux).

    De la grossière planche de bois, puis la plaque de cuivre et le rouleau finement gravés, des motifs monochromes aux polychromes, des scènes champêtres, historiques, d'antiquité, ou relevant de l'actualité, des chinoiseries, des semis ou parterres de fleurs, tout ceci d'après les dessins du célèbre Jean-Baptiste Huet dont la production fut très abondante.

    C'est l'espace de la campagne et l'eau pure de la Bièvre qui permirent l'implantation de l'immense entreprise pour laquelle Oberkampf consacra sa vie, méritant le titre de "Manufacture Royale" et lui-même recevant des mains de Napoléon, la légion d'honneur.

    parisNous ne voyons que des vestiges mis en valeur par une riche collection, dans ce beau Musée. De nombreuses toiles sont exposées offrant des sujets variés (cliquez sur l'image) en fonction des goûts des époques traversées, des tenues vestimentaires, avec la possibilité d'apprécier de très près la précision et la finesse des motifs des plus grands aux plus miniaturisés.

    Nous étions bien encadrés par un guide pour nous faire revivre cette entreprise composée de nombreux bâtiments, étendue sur 14 hectares,qui employa plus de 1300 personnes durant des décennies.

    Toutefois sans entendre le bruissement de la petite rivière, ni la rotation des cylindres, sans l'odeur de la teinture ni frôler le souffle de l'étuve, pas plus que de saisir le bavardage des "pinceauteuses", sans suivre le va et vient des ouvriers transportant les lourds métrages à battre, ni surprendre les directives échangées de vive voix afin de surmonter les bruits de cette "ruche"... Pourtant j'ai senti, écouté, perçu l'atmosphère, touché des yeux la souplesse des toiles, vibré devant le travail de ces artistes passionnés. Croyant les voir se faufiler... Je les ai cherchés, en vain...

    Toile de Jouy tu as enchanté les plus jolies femmes, tu as transformé, allégé leurs toilettes, portée aux nues par les Dames de la Cour, tu as garni les "bonbonnières" ces petites chambres calfeutrées si charmantes, tu as révolutionné le monde du textile, tu as perduré par ta diversité, tu es même devenue papier peint ou décor de vaisselle et agrémenté divers objets. Tu passes de mode, et l'on te retrouve encore et encore. En ce printemps du XXIe siècle, tu vois nous n'avons pas hésité à venir saluer tes maîtres et t'admirer dans tes couleurs d'origine superbement conservées. Tu es, et resteras dans notre mémoire, car la découverte de ton important Musée nous a offert un moment très agréable.

    Mais il est vrai que justement, nous marquons le bicentenaire de la disparition de ton créateur : Christophe-Philippe Oberkampf.

    Ninette

  • Expo "Indigo"

    paris,exposition Jusqu'au 2 mai La bibliothèque Forney est plongée dans un bleu indigo, profond et très nuancé.

    Ce bleu obtenu par des plantes cueillies dans la nature ou récoltées est une teinture naturelle.

    Les variantes sont selon les techniques et les origines.

    C'est un voyage à travers tous les continents en découvrant les pièces vestimentaires et ornementales de différents pays : Japon, Chine, Rajasthan, Mali, Guatemala, et bien d'autres encore.

    Jupes au très fin plissé, vestes de travail usées jusqu'à la corde et rapiécées à points invisibles, de même pour les pantalons. Les motifs sont imprimés manuellement à l'aide de tampons en bois, ou bien sont brodés de fils clairs. Certaines pièces peuvent nous rappeler les vêtements que portaient nos anciens à la campagne il y a un siècle. Nous avons toujours gardé l'influence de ces techniques en portant le jean's aujourd'hui. De nombreuses pièces très diverses sont exposées. C'est un travail d'artiste en somme.

    Annick D

  • Lire "Tu seras un raté, mon fils"

    paris,livreFrédéric Ferney dans ce "Tu seras un raté, mon fils" nous raconte les relations entre Churchill et son père.

    Lord Randolph, descendant de la prestigieuse lignée des Marlborough, mort le 24 janvier 1895 à 46 ans, Winston cherchera toute sa vie à l'épater et lui donner tort. Il y réussit au-delà de toute espérance.

    Ce livre nous relate la lutte, par l'action, contre le "Chien Noir" "La Dépression" des Marlborough qui le hanta toute sa vie. Il nous livre un Winston Churchill à découvrir.

    Jean-Paul

  • Expo"Pierre Bonnard au musée d’Orsay"

    C’est à une véritable fête colorée que nous sommes conviés.

    Un très grand nombre d’œuvres sont exposées : diversité des périodes et des thèmes dans une présentation thématique mais non chronologique. Beaucoup de toiles représentant sa femme, Marthe. Des scènes d’intérieur avec le thème de la toilette bien sûr, mais aussi des scènes d’extérieur. Des cadrages étranges, des autoportraits, et de très grands panneaux qui nous surprennent.

    Une très belle exposition à ne pas manquer.

    Colette C

  • Lire "Letizia R. Bonaparte La mère de toutes les douleurs"

    paris,livreAu soir de sa vie Letizia Ramolino Bonaparte reçoit deux journalistes dans son palais romain où elle vit en exil. Cette femme à l'incroyable destinée va remonter le fil de ses souvenirs.

    Patrick de Carolis par ses échanges imaginaires entre la mère de Nabulio devenu Napoléon 1er et deux journalistes du "Magasin Universel" nous la rend très proche et nous permet une connaissance plus intime du Premier Empire.

    Ce livre est une vraie leçon d'Histoire.

    Jean-Paul

  • Balade photos "Du haut vers le bas"

    Malgré la fraicheur, nous sommes partis le nez au vent et l'appareil photo en main.

    Bien que le ciel fut brumeux de beaux plongeons sur l'horizon du parc de Belleville pour le 1er groupe.

    Pour le 2è groupe, les quais étaient dégagés mais la concentration fut nécessaire pour satisfaire l'objet de la balade "du haut vers le bas".

    Dans le parc de la butte du chapeau rouge notre regard s'est promené du haut vers le bas à la recherche du chapeau rouge. Non trouvé à ce jour par le 3è groupe.

    Nous, le 4è groupe, pour prendre de la hauteur, nous nous sommes dirigés vers le pont de la porte de Vincennes. Chemin faisant notre regard a été attiré par les bouches du Métro où les usagers s’engouffrent du haut vers le bas.

    Comme d'habitude, nous nous sommes tous retrouvés à la cafeteria de Casino pour déjeuner  et parler de notre matinée.

    Les photographes d'Arvem