Quel acteur américain se cache derrière ce rébus ?
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- Robert de Niro
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Quel acteur américain se cache derrière ce rébus ?
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En ce début d'année à l'atelier d'écriture, parmi différents sujets il était proposé de continuer sur ces quelques mots : "C'était un jour comme les autres semblait-il, et pourtant"...
Sept participants ont donné sept textes différents dont celui-ci.
C'était un jour comme les autres semblait-il, et pourtant...
Monsieur Henri comme d'habitude, entre au bistrot de son quartier afin de se restaurer. C'est un habitué, le patron le connaît bien. Du Lundi au samedi, à midi quinze précise, il est souvent le premier client.
Par un pas tranquille, il se dirige au fond de la salle et s'installe comme toujours à la même table. Il pose son chapeau sur la chaise face à lui et d'un regard inquiet fait le tour des lieux.
Ce n'est pas comme d'habitude, les clients sont rares et ceux qui sont là semblent pensifs. Les fidèles, il les connaît bien. Il y a le couple d'amoureux qui se dévore des yeux plus qu'il ne mange, Il y a le vieux monsieur que l'on voit à peine, caché derrière son journal, mais il y a surtout la dame au manteau vert. Comment ne pas la remarquer...
Personne de tous ces habitués n'est là. Pourquoi la dame au manteau vert est-elle absente? Il connaît sa ponctualité, le temps dont elle dispose, ses goûts gastronomiques. Parfois il a eu la tentation de l'aborder, mais craignait de la retarder, son temps semblait être compté. Sont-ils donc tous malades ou bien en vacances ? Nous ne sommes pas dimanche se dit-il. Depuis que Monsieur Henri est en retraite il n'a pour seul repère que ce jour là, son petit restaurant étant fermé Il doit donc se contenter d'un plat surgelé à la maison.
Le patron semble pressé, il a constamment le regard vers la pendule.
Et Monsieur Henri est toujours obsédé par l'absence de la dame au manteau vert.
Soudain, dans la rue un brouhaha attire son attention. Des enfants courent et chantent en poussant la porte d'entrée dans des éclats de rire. Et surprise, la dame au manteau vert apparaît derrière sa marmaille qui s'exclame en chœur "Joyeux Noël Monsieur Henri".
Eh oui, Monsieur Henri vit seul, n'est pas entouré, pour seule compagnie n'a que son chat. Il n'a plus aucune notion de toutes ces fêtes, et ne croit plus au père Noël depuis bien longtemps.
Alors les enfants l'entourent, lui déposent des chocolats dans son chapeau et l'embrassent.
La dame au manteau vert l'invite alors à venir déjeuner en famille. "Notre appartement n'est pas très grand, mais vous serez mieux qu'au restaurant" insiste t-elle. Et tout ce petit monde est heureux de repartir avec Monsieur Henri.
Annick D
La Maison des métallos 94 rue Jean-Pierre Timbaud XIeme présente du 3 au 28 février (du mardi au samedi 14h - 20h et le dimanche 14h -19h Entrée libre) "On l'appelait Chocolat", une exposition sur cet artiste sans nom qui fit courir avec son compère Footit "Le Tout Paris" de la Belle Epoque.
Vous y découvrirez, dans un lieu très lumineux, des documents exceptionnels (affiches, photographies, dessins, archives sonores, films,...) présentés pour la première fois au grand public par l'historien Gérard Noiriel, commissaire auteur de la biographie "Chocolat La véritable histoire d'un clown sans nom " .
Vous profiterez en visitant cette exposition d'un bon complément au film "Chocolat" de Roschdy Zem où excelle Omar Sy.
Jean-Paul
Ce film raconte tout d'abord la formation à la fin du XIXeme siècle du duo célèbre dans le monde du cirque de Footit le clown blanc autoritaire et de Raphael Padilla un Noir d'origine cubaine (le premier clown noir) son souffre-douleur.
Il raconte surtout le racisme ordinaire qui existait à cette époque et perdura durant le XXeme siècle (a-t-il totalement disparu ?)
Un film a voir sans attendre. Omar Sy "Chocolat" y est émouvant à souhait.
Jean-Paul
Très bon film.
Annick D.
Quel acteur américain se cache derrière ce rébus ?
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Mon premier est un pronom personnel dit "réfléchi" (3ème pers. singulier)
Mon deuxième tire-bouchonne le derrière du cochon
Mon troisième est une moitié de tutu
Mon quatrième est un adjectif démonstratif
Mon cinquième est une conjugaison du verbe "avoir", ou une préposition
Mon sixième est le son de la lettre "P"
Des élèves qui rentrent dans la classe forment mon septième
Mon huitième est un article défini masculin singulier
Mon neuvième est un chapeau anglais
Mon dixième est un pronom personnel indéfini
Jeanne d'arc a, parait-il, entendu mon onzième
Mon douzième est le son d'une lettre évoquant le bourdonnement
Mon treizième est le premier entier plus grand que 0
Mon tout est un proverbe chinois
Le Musée Carnavalet présente jusqu'au 28 février " Le Marais en héritage(s)". De nombreuses maquettes vous sont présentées. Des entretiens vous sont proposés (notamment avec André Malraux, il y a 50 ans, Ministre des Affaires culturelles et Pierre Sudreau Ministre de la construction...)
De multiples photos vous sensibilisent au triste Marais de l'époque (la saleté) redevenu plus gai de nos jours.
Une visite dans les collections permanentes s'impose. Les salles sont mieux aménagées, dans la cour de l'Hôtel la statue de Louis XIV est mise en valeur.
Le Musée s'est dépoussiéré à l'imitation du Marais.
Jean-Paul
Ce film est un conte .
À la lecture d' un livre, des enfants d'aujourd'hui remontent au Moyen-Age dans des rôles très bien joués, en costumes et d'un extraordinaire naturel. Leur présence m'a fasciné. C'est un très bon film.
Jean-Yves
Cette peintre renommée, préférée de Marie-Antoinette, ne pouvait qu'attirer bon nombre de courtisan(es) invités à la discussion précédant "la Fête des Rois", de notre "Cour amicale" !
Cette Élisabeth Louise est née le 16 avril 1755 d'un père aquarelliste et d'une mère coiffeuse, fut élevée dans un couvent rue de Charonne.
Initiée par sa mère au goût de la peinture en l'entraînant autour de belles collections au Palais du Luxembourg ainsi qu'à Bruxelles admirer l'œuvre de Rubens entre autres.
Mais déjà, petite fille douée elle dessine, fait des aquarelles et son père l'encourage face à son talent.
Celui-ci décède quand elle a 12 ans. Sa mère se remarie la même année avec un joaillier très avare qui profitera des ventes de tableaux de sa belle-fille.
- À 15 ans elle réalise le 1er tableau de sa mère. Durant sa vie, elle fera d'innombrables portraits et auto-portraits.
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