
En ces temps de pandémie il m'a semblé fort à propos de me plonger dans les affres d'une autre épidémie plus mortelle qui s'abattit, selon la chronique, dans les années 40 sur la ville d'Oran.
Après la présentation de la ville (le cadre est loin d'être idyllique Oran est une ville sans pigeons, sans arbres et sans jardins) nous suivons le récit du docteur Bernard Rieux qui a la surprise de découvrir un rat mort (avant bien d'autres) le 16 avril avant d'assister à la prolifération de l'infection qui en résulte et ceci jusqu'au 25 janvier suivant où les portes de la ville s'ouvrent après 9 mois de confinement.
L'atmosphère est, bien entendu, loin d'être gaie. Le style de l'auteur est en accord avec l'atmosphère.
Jean-Paul
Jean Teulé on aime ou on déteste. Pour ma part j'ai détesté "
Tout le monde connaît le combat sans cesse renouvelé de Stéphane Bern pour la sauvegarde du patrimoine français. Acheter son livre c’est tout d’abord soutenir son combat.
Après la lecture du récent “ 
Après 30 années de pérégrinations semées de morts de maladies, d’assassinats, de combats, de conversions et d’abjurations il se tire de tout avec chance (c’est la Providence) et habileté.
L’auteur,
Pour son 112eme ouvrage il se lance dans une comparaison entre De Gaulle et son éternel adversaire François Mitterrand. Le premier en sort sublimé, le second misérable.