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  • Lire "Le roi disait que j'étais diable" de Clara Dupont-Monod

    Dans cette formule due à l'évêque de Tournai l'auteure nous dépeint avec maestria les premières années d'Aliénor d'Aquitaine devenue reine de France.

    Nous sommes bien loin du gisant paisible de l'abbaye de Fontevrault.

    Le lecteur rencontre dans ce livre avec Aliénor, son mari Louis VII (plus moine que roi) le ministre Suger à qui nous devons la basilique de St-Denis et le prêcheur de la funeste 2eme croisade Bernard de Clairvaux.

    Un livre à recommander à tout  admirateur d'Aliénor reine de 2 royaumes dans ce Moyen- Age qu'elle illumina.

     Jean-Paul

  • À vous de jouer ? (n°778)

    Trois stations de métro se cachent dans ce texte. À vous de les retrouver.

    Ainsi l’affaire s’annonçait plus complexe que prévu. Plus le temps, plus le choix… Je devais avancer. Quelques minutes me suffire à atteindre l’entrée. Cela se corsait. À ma droite, une décharge sur laquelle s’entassaient portes de bagnoles, et pare chocs variés polluait l’environnement.

    Je montais les marches du perron quatre à quatre. Septembre s’achevait, il commençait à faire froid. Je remontais mon col et toquait à la porte.

    Réponse lundi prochain

  • Expo "Charles Ray"

    Nous avons rendez-vous, avec Charles Ray, au musée Centre Pompidou, où une dizaine de ses œuvres sont exposées.  Une autre exposition, simultanée, à lieu à la Bourse du Commerce - Pinault Collection, avec une vingtaine d’autres sculptures. 

    Le lieu de la "réception" définit, tout de même un peu, le style de l’artiste : contemporain. Mais toujours curieuse, j’y vais. La guide, nous informe, que l’artiste était présent au vernissage, ce qui permit certaines explications bien particulières. 

    Dès l’entrée en salle, une voiture, complètement défoncée, réalisée en fibre de verre peinte de gris. C’est un modèle Pontiac accidentée (Unpainted Sculpture, 1997). D’après l’auteur cela correspond au "temps qui s’arrête". La voiture fut "découpée", pour être réalisée en fibre de verre, par "tranche" puis "remontée". 

    À proximité, un "Self portrait", grandeur nature, en fibre de verre peinte, vêtements, lunettes, cheveux synthétiques, en verre et métal. Je n’ai jamais vu un artiste, réaliser sa propre sculpture, certes… j’ai encore beaucoup de choses à voir ! Pas mal le monsieur, mais je lui préfère son chapeau, et surtout ses lunettes (rare sur le nez d’une sculpture) ! 

    Un peu plus loin, "Portrait of the artist’s Mother", une femme allongée, soutenant sa tête, semble se reposer. Elle est plus grande que nature. Ses yeux sont peints, ainsi que de grandes fleurs sur le corps. Surprise comme beaucoup d’entre nous… elle fut réalisée dans l'atelier de l'artiste, en papier "fait main". Matière à la fois malléable et résistante pour permettre un rendu du détail des œuvres. L’ensemble pèse 9 kg. Charles Ray précisa : "Je suis sculpteur de métier, mais la nuit je dessine des fleurs afin de laisser libre cours à mon amour de la couleur. Comme des fleurs sauvages dans un pré, ces dessins viennent d'eux-mêmes."

    Un mannequin, (Fall ’91, créée en 1992), agrandit à 30 %, d’une hauteur de 2,05 m, en fibre de verre peinte, cheveux synthétiques, vêtements et bijoux, en verre et métal, elle pèse 90 kg. Nous n’avons pas pu résister au plaisir de comparer l’une d’entre nous, à ses côtés… il n’y a que la jupe qui dépareille… et la taille ! Chacun sa préférence, pour son mannequin ! 

    Puis nous arrivons, devant "Shoe Tie, 2012" en Acier inoxydable. Il s’agit d’un homme, accroupit, il lace sa chaussure droite. Je ne vois pas la chaussure… ni même son pantalon ! J’ai oublié de vous préciser, qu’il a emprunté le costume d’Adam… Quant à Charles Ray il dira à propos de cette sculpture : "Un matin, sur le chemin, alors que je refaisais mes lacets dans l'obscurité, je me disais que si un fantôme devait lacer sa chaussure, il n'aurait pas besoin d'avoir une chaussure. Je ne crois pas aux fantômes, mais la logique de cette idée m'est restée. Finalement, j'ai perçu ce geste comme une sculpture." Témoignage, qui montre que la "parole" de l’artiste change tout ! 

    En suivant notre chemin on tombe face à face, avec toute une famille… composée de 2 adultes, une fillette et un garçon. Ils ont tous, sensiblement la même taille, agrandie pour les enfants et diminuée pour les parents, mais aux proportions correctes. 

    La nudité accentuée et la taille des personnages, me semble… juste un peu bizarre !

    À proximité, un tronc d’arbre couché (Hinoki, 2007), je ne crois, qu’il soit ici, pour permettre le repos, des visiteurs fatigués…  Charles Ray aurait repéré un chêne mort dans un champ de Californie, Il décida de le représenter, mais en cyprès japonais. "C'est une image, que vous regardez, ce n'est pas un arbre." Précisa-t-il, lors du vernissage... 

    Toujours est-il, qu’un tronc de cette taille, ne pouvait suivre le chemin habituel des œuvres pour parvenir dans la salle du Centre Pompidou. Qu’à cela ne tienne ! Le transport releva de l'exploit, la sculpture fut montée par une grue, nous précisa la guide. 

    Tout aussi surprenant… Les bateaux mis en bouteille, par des maquettistes, c’est courant. Mais un artiste mettre lui-même sa miniature, en bouteille ! cela n’est pas fréquent…. Seule information, la sculpture fut réalisée en fibre de verre, avant la bouteille. Mais là encore cela interpelle, par quelle "magie" technologique le personnage pénètre dans la bouteille ?  L’auteur n’a rien dévoilé à ce sujet, lors du vernissage, alors mystère !

    Charles Ray, change souvent de technique et de matériaux. Fibre de verre, aluminium peint, papier, cire perdue, acier inoxydable. ….  La guide y revient souvent, lors de la visite.  Après ce petit tour, dix œuvres, c’est rapide, malgré 1h30, du savoir de la guide qui sut retenir toute mon attention, pour un contemporain ! C’est certainement cela qui m’a le plus intéressé…. Je reconnais que ces statuts en acier inoxydable rendent un effet curieux, ce qui a attiré, et bien plu à mon œil profane. … 

    Arletteck

    paris,exposition,ray

    ©2022by ArletteCk

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  • Programme juin 2022

    Scrabble, bridge

    • Lundi 13, 20, 27 juin & 4 juillet à 18h30

    Tarot

    • Lundi 13 juin à 18h15
    • Lundi 20 & 27 juin à 18h30
    • Samedi 4 juin à 10h30

    Samedi 4 juin à 14h30

    • Discussion de Jean-Paul : Viollet-le-duc

    Samedi 12 juin à 10h30

    • Promenade commentée par Ania "Le Marais"

    Lundi 13 juin à 18h

    • Atelier d'écriture par MartineC

    Samedi 18 juin à 7h30

    • Promenade en car : Amiens

    Dimanche 19 juin à 15h30

    • Théâtre La Bruyère "Aime comme Marquise"

    Mardi 21 juin à 18h30

    • Billard américain

    Vendredi 24 juin à 18h45

    • Dîner chez Tea Melodie

    Samedi 2 juillet à 9h15

    • Journée randonnée à St-Germain-en-Laye