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ARVEM ASSOCIATION - Page 249

  • expo "L'amour au Moyen Age"

    Jusqu'au 9 novembre dans la Tour Jean-Sans-Peur 20 rue Etienne Marcel (Paris 2e) on s'intéresse à "L'amour au Moyen Age".

    paris,expositionComme toujours dans ce lieu consacré à l'Histoire moyenâgeuse, cette exposition est bien documentée, ce qui la conduit à nous proposer des illustrations qui au siècle dernier, auraient été qualifiées de lestes, mais à notre époque de télé-réalité, peuvent être vues par les yeux les plus chastes.

    Une exposition que l'on peut donc recommander sans crainte de choquer.

    Jean-Paul

  • Lire "Je te vois reine des quatre parties du monde"

    paris,livreComme Christophe Colomb, Dona Isabel Barreto rêva de repousser les limites du monde connu. Elle devint, au temps des conquistadores, la première et la seule femme amirale de la flotte espagnole.

    Cet ouvrage d'Alexandra Lapierre a reçu le prix Historia du roman historique. J'ai eu du mal à entrer dans l'histoire mais cet effort effectué, c'est avec grand plaisir que je me suis plongé dans ce récit plein d'amour et d'aventures.

    Ce "Je te vois reine des quatre parties du monde" vous donnera l'envie de creuser encore plus profondément ces XVeme et XVIeme siècles espagnols, fourmillant de conquistadores plus aventureux les uns que les autres.

    Jean-Paul

  • 304 rue de Charenton

    En 1726, Paris se terminait au 304 de la rue de Charenton. En effet, entre le 1er et le 2è étage, vous trouverez une plaque ancienne où est écrit :

    paris,saviez-vousLes bornes de limites du règne de Louis XV de par le Roy

    Défences expresses sont faites de bâtir depuis les présentes bornes et limites jusqu’au prochain village aux peines portées par les déclarations de sa majestée des années 1724 - 1726."

    Jeanet

  • Les Marguettes en ce 1er mai

    Le printemps est revenu et nos oiseaux, dans le parc de la résidence, continuent à nous émerveiller.

    Le solitaire et magnifique pic vert dans sa livrée rouge et verte vient faire régulièrement sa cure de fourmis. Les éternels pigeons sont en embuscade en permanence. Les moineaux sont revenus picorer des pucerons dans les rosiers.

    Curieusement,, nous n’avons pas vu les mésanges depuis plusieurs semaines…

    Les geais, rois de ce milieu, ont toujours été là hiver comme été

    Nous sommes à la mi-mai : que se passe-t-il ? Nous n’avons plus aperçu de geais et de mésanges depuis quelque temps. Cela devient inquiétant… Ou bien est-ce tout simplement le moment de l’éclosion pour les nouveaux petits oiseaux qui demandent une attention permanente de leurs parents ?

    Le bonheur : ce matin Nicole ouvre la fenêtre pour saluer le retour du gros geai (presque un canard !) qui est en sentinelle depuis un bon moment.

    Dialogue :
    - Tu as faim ? Réponse : poout ! Elle lui lance une cacahouète sur le gazon qu’il s’empresse d’avaler avant de remonter sur la première branche du sapin.
    - Tu as encore faim ? Réponse : poout ! Nouvelle cacahouète aussitôt engloutie.
    - Tu as toujours fait ? Réponse : poout ! Mais cette fois au lieu de l’engloutir, il l’enfouit dans les rosiers et remonte dans l’arbre.

    Alors Nicole lui dit : Maintenant, c’est fini !

    Deux jours après, c’est le retour d’une petite mésange bleue, laquelle, à son tour se charge de demies cacahouètes.

    Les choses ont l’air de rentrer dans l’ordre.
    Fin mai : un petit merle nommé Piou-Piou est devenu la vedette locale. À suivre.

    Jacques et Nicole

    * Petite chronique ornithologique 2013

  • Lire "Les flingueurs"

    Patrice Duhamel et Jacques Santamaria nous livrent dans "Les flingueurs" une anthologie des cruautés politiques.

    Nous retrouvons dans ce livre les formules assassines de Clemenceau (un maître en la matière) et celles qui illustrèrent les duels les plus violents de notre Histoire moderne : de Gaulle-Churchill, de Gaulle-Pompidou, Chirac-Giscard, Mitterrand-Rocard, Fillon-Sarkozy... parmi d'autres.

    Une véritable révision de notre récente (et parfois moins récente) Histoire.

    Jean-Paul

  • Honfleur - Trouville

    Direction Honfleur

    Départ 7h pour une journée exceptionnelle, tant sur le plan d'un ciel bleu digne du sud, que sur l'exactitude générale malgré l'horaire matinal, ainsi que sur le trafic autoroutier, ce qui nous permet de grappiller quelques minutes à l'arrivée d'Honfleur.

    La bonne humeur aidant, pour passer le temps, nous n'échappons pas au quiz traditionnel auquel chacun se plie avec bonne volonté, avant les informations sur les visites de ces deux sites, le micro fonctionnant parfaitement...

    Honfleur, son port et ses maisons particulières sont plutôt cachés par un marché de fripes très important, très fréquenté, qu'il faut traverser toutefois sans trop de peine, aidés par la pancarte d'Arvem en tête, bien utile.(marché aguicheur pour certaines qui voudraient bien s'arrêter pour un joli sac, pour un vêtement rayé, pour un ciré… pour... pour...)

    Le groupe file vers l'église Sainte Catherine où la place est aussi envahie de commerçants (les fraises odorantes excitent nos papilles... Les crevettes "sautent dans le ventre" d'une gourmande parmi nous, mais elles se verront finalement rester à leur place). Lire la suite...

    Direction Trouville

    Nous quittons cette cité qui m'apparaît "encaissée, étouffante," agitée par le déploiement d'innombrables exposants et l'étroitesse de ses trottoirs encombrés par les tables de bistrots, d'où la circulation difficile pour les promeneurs. (Le revers de la médaille d'un lieu pictural renommé, touristique, en pleine saison !)

    Après quelques commentaires sur le Trouville d'Antan, sa découverte, son évolution, ses attractions, ses principales constructions, chacun peut passer 2 heures suivant son choix : temps libre, jeux au casino, ou emprunter les planches nommées "Promenade Savignac" en référence aux affiches particulières de l'artiste affichiste Raymond Savignac, ainsi découvrir les superbes hôtels et villas de la Belle Epoque, en promenade commentée, tout en respirant à pleins poumons l'air un peu vif qu'offre le bord de mer, et s'arrêter devant les plus importantes demeures.

    Un petit coucou à Proust et M.Duras aux Roches Noires tout en savourant cette fois, la fine senteur des troènes qui clôturent la résidence. Lire la suite...

    Ninette

  • Place des Vosges ?

    À l'origine, elle s'appelait Place Royale, et fut érigée par Henri IV. Depuis 1800, elle s'appelle "Place des Vosges", en l'honneur de ce département qui fut le premier à payer l'impôt révolutionnaire, et à envoyer des volontaires pour la défense de la Patrie en danger, en 1792.

    Jeanet