Jean Teulé adore les histoires scandaleuses et sanguinolentes. Dans "Héloïse,ouille" il se régale particulièrement dans les premières pages du livre avant qu'Abélard ne perde ses parties viriles.
Il se calme après l'agression du héros par trois malandrins payés par le chanoine Fulbert oncle d’Héloïse.
Nous avons droit alors aux lettres échangées par les deux amants et aux querelles ecclésiastiques dues aux écrits d'Abélard.
Un livre qui a le mérite au milieu des propos salaces, de nous plonger dans notre si vivant Moyen-Age.
Jean-Paul