En Argentine quelle est la coutume au réveillon du Nouvel An si l'on veut trouver l'amour dans l'année. Porter de la lingerie :
- rose
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En Argentine quelle est la coutume au réveillon du Nouvel An si l'on veut trouver l'amour dans l'année. Porter de la lingerie :
Voici quelques nouveaux mots en vigueur à partir du 1er janvier 2020 (0DS8) :
Jeux de société
Vous cherchez des partenaires, vous désirez vous initier ! Venez nous rejoindre.
Scrabble, tarot, belote
Lundis 13, 20 & 27 janvier de 18h30 à 21h30
Scrabble, tarot
Samedi 18 janvier à 10h30
Échecs
Lundis 13 & 27 janvier de 18h30 à 21h30
Samedi 18 janvier à 14h30
Discussion de Jean-Paul : Clovis
Samedi 18 janvier à 16h30
Fêtons l'Épiphanie
Lundi 20 janvier à 19h
Ateliers d'écriture
Mardi 21 janvier à 18h30
Billard américain
Samedi 25 janvier à 11h20
Expo "Marche & démarche - Histoire de la chaussure" aux Musée des Arts décoratifs
Dimanche 26 janvier à 16h40
"À cause des garçons" à la Comédie Bastille
En Argentine quelle est la coutume au réveillon du Nouvel An si l'on veut trouver l'amour dans l'année. Porter de la lingerie :
Réponse lundi prochain
En quelle année les artisans confiseurs ont lancé la tradition du calendrier de l'Avent rempli de chocolats ?
"Opéra locos" est un spectacle divertissant, gai, joué par des comédiens de talent. Bien sûr, il est basé sur une histoire d'amour (en fait 2), chanté sur des airs d'opéra connus (Carmen, Rigoletto, Mme Butterfly, La Traviata...).
J'ai beaucoup aimé.
À conseiller.
Le Huong
En quelle année les artisans confiseurs ont lancé la tradition du calendrier de l'Avent rempli de chocolats ?
Réponse lundi prochain
MAXIPOINTS est un jeu dans lequel vous allez devoir essayer de totaliser un maximum de points en un nombre de mots donnés. (Tous les mots à trouver sont présents dans le dictionnaire officiel du scrabble)
Saurez-vous totaliser 53 points en 10 mots (de 2 à 6 lettres)
Je n’ai pas pris de notes trop absorbée durant la visite rendue si vivante grâce au guide dont l’accent, dès le début, m’a transportée au-delà de la frontière alpine.
J’étais en Italie pour suivre ses explications enrobées par sa façon chaude de s’exprimer devant chaque tableau, faisant ressortir la beauté du travail de l’artiste, qui a su rendre si réel, si profond le regard des personnages, la finesse des attitudes, la légèreté des mouvements, la délicatesse des gestes, la réalité de la chair, les défauts de la peau, aussi l’apport de la perspective.
Mais encore la splendeur des couleurs, la luminosité intense ainsi que sa particularité en la façon de traiter le noir, entre-autre, sur un vêtement par exemple, permettant d’en ressentir l’épaisseur ou identifier le type d’étoffe.
Des sujets essentiellement religieux, de beaux portraits expressifs, comme celui du souffleur sur la flamme au visage marqué, si naturel.
Des présentations de "variations" : deux compositions presque identiques comportant des évolutions, ce qui n’est tout de même pas courant.
Autrefois, lors d’un voyage j’avais été frappée par un tableau du Greco, gardant en mémoire le blanc du visage et du corps humain, traduit avec des nuances donnant tant de relief à confondre la peinture à une sculpture.
Mais nous avons pu découvrir que ce peintre était aussi architecte et sculpteur.
À plusieurs reprises, des comparaisons, des inspirations suivant le cas nous étaient démontrées sur tablette: nouveauté très appréciée, plus visible par tout le groupe, plutôt qu’une simple photocopie autrefois montrée.
C’est la première grande exposition pour laquelle des tableaux pour beaucoup viennent de l’étranger (Amérique, Canada, Espagne, Italie...) et je pense que de nombreux visiteurs auront été comme moi, impressionnés, peut-être même émus, face à des œuvres comparables à celles de Michel Ange, Le Titien, Vinci ou grands Flamands.
Cet homme né en Crète en 1541 s’installa à Venise puis à Rome, enfin passa plus de 30 ans à Tolède où il s’éteint en 1614. Il resta dans l’oubli jusqu’aux Impressionnistes qui sauront le redécouvrir et le comprendre. Puis à notre époque éblouir une foule d’admirateurs, levant les bras pour immortaliser leur visite, emportant avec eux des splendeurs dans leur boîte magique. Pour moi, elles sont rangées dans ma mémoire tant que celle-ci le voudra bien !
Ninette
© Photo by Les Yack
Thème : Timbres choisis le portrait de Maurice Ravel et La Baigneuse à mi-corps de Ingres.
Ce soir, à l'opéra Bastille, l'orchestre philharmonique de Radio France interprète un concert de Maurice Ravel, ses œuvres les plus connues, dont l'envoûtant "Boléro" prévu en clôture.
Héloïse attend depuis longtemps cette soirée exceptionnelle. Depuis sa loge elle est toute ouïe se sentant emportée par les violons. Son admiration pour le chef d'orchestre n'est pas nouvelle, depuis plus d'un an elle rêve de l'approcher, de paraître sur scène à ses côtés. De sa loge elle ne le quitte pas des yeux. Grand, large d'épaules, épaisse chevelure brune bouclée, il se distingue parmi tout l'orchestre. Vêtu d'une queue de pie noir, d'une chemise blanche au col cassé surmonté d'un nœud papillon blanc. Comment pourrait-il ne pas attirer l'attention de la belle Héloïse.
Parée d'une longue robe à fines bretelles en taffetas bleu nuit, les épaules couvertes d'une étole aussi fine que légère, elle étouffe malgré tout, visiblement Il lui fait sensation.
Elle s'imagine être près de lui, ou mieux, dans ses bras, elle s'y croit déjà, elle divague.
Baissant discrètement une fine bretelle de sa robe, puis la seconde, elle se sent plus à l'aise, Tout en continuant à relever sa longue robe au dessus du genou. Elle est ailleurs si bien qu'elle se dévêt un peu plus, passe du dos nu, aux seins nus. Peut-être la verra-t-il depuis la scène, cessera-t-il de jouer, viendra-t-il la chercher ? Dans la pénombre, sa peau si blanche, si pâle ne peut passer inaperçue, elle en a des frissons.
Silence, voici les premières notes du "Boléro", quinze minutes d'ensorcellement.
Soudain des applaudissements; seraient-ils pour elle ? Comme envoûtée, elle se lève, rejoint le public en liesse par l'allée centrale, oubliant qu'elle est en tenue d'Ève. Tous les regards se posent sur cette créature sortie des nues.
L'observant discrètement depuis le début du concert, un homme ne perd rien de ce spectacle inattendu, surpris mais inquiet, ce n'était pas prévu au programme : "Cette femme a perdu la tête, elle doit vite se rhabiller, il faut l'isoler de la salle".
Elle se sent cernée de tous côtés par des femmes jalouses de ne pas être aussi belles, aussi jeunes, l'accusant de provoquer leurs maris. Soudain, prise d'étourdissement, Héloïse s'écroule dans les bras d'un vieux monsieur semblant heureux de ce fait inattendu, mais bien embarrassé de cette situation. Il la protège délicatement de sa veste, part en quête d'un autre vêtement afin de couvrir le tout.
Les lumières s'allument, la salle se vide, le chef d'orchestre s'informe de cet incident, par principe et fait le nécessaire afin de régler l'affaire.
Héloïse passera la nuit à Sainte Anne. Isolée dans une chambre, ce soir elle est heureuse d'avoir attiré l'attention, d'avoir osé, de s'être montrée en spectacle. Tout ça pour un chef d'orchestre qui l'a complètement ignorée.
Depuis, elle fait du théâtre. Un soir, ayant le rôle principal dans "Scandale à l'Opéra" elle l'aperçoit au premier rang. Est-il ici par hasard, l'a-t-il reconnu, le titre du spectacle lui a-t-il remémoré un événement vécu ? Elle veut savoir.
Dès la fin de la représentation elle le rejoindra, ils s'installeront au bar. Elle lui fera part du déclic qu'il a provoqué grâce à son indifférence. Ce sera une rencontre assurément sans scandale.
AnnickD