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On est souvent amené à enlever des étiquettes collées sur divers objets. Cette opération est souvent délicate à réaliser sans endommager l'objet.
Pour y arriver sans peine, le truc est de badigeonner l'étiquette d'huile de table au moyen d'un coton‐tige en prenant soin de ne pas déborder. Attendre que l'huile pénètre jusqu'à la colle et l'étiquette pourra être facilement retirée.
Un objet qui tremble ? À quoi cela peut-il bien servir ?
Eh ! Bien ! C'est tout le contraire. C'est une sorte de tasse retenue dans une soucoupe, soit par une galerie, soit par une légère cavité, ce qui l'empêche de glisser et de se renverser.
La chanson dit : "Alouette je te plumerai, la tête", j'ai cru comprendre "Ninette je te plumerai la tête". Et pourquoi faire?
Doutant de sa capacité, non, la plume de mon serre-tête n'écrira pas ! Aurait-elle le style suffisant pour ne pas me faire résumer, comme une oie blanche, cette journée magnifique, passée dans les traces d'Alexandre Dumas ?
Même avec le stylo, je laisserai donc cette tâche à plus calé. Un nègre ? Un esclave ? Non au passionné qui bouclera ainsi le sujet.
Lors de la discussion précédente, si vous n'avez pas tout saisi, ou si vous avez oublié quelques détails, sur le Général et Alexandre Père, là, vous avez été servis en informations répétées. Mais de quoi parler d'autre dans ces lieux, que de ces deux destins bien remplis ?
En ce qui me concerne, pour ne pas manquer à mon devoir de "scribouillarde" je vous ferai part de banalités et balivernes sur cette balade en Picardie agréablement guidée sous un beau soleil, puis le pique-nique dans cet endroit paisible au vert, enfin la beauté du site de Port Marly.
Vos photos appuieront mes dires !
Cette journée vécue comme un avant goût de vacances, me rappelle la fin des années scolaires avec le bilan du conseil des maîtres ! Que ce serait-il dit ?
Ce matin du samedi 26 juin 2010 branle-bas de combat dans la maison, il s'agit de ne pas rater le départ du car Place de la Nation, dès 7h30 pour Villers-Cotterêts terre natale d'Alexandre Dumas dont nous avons décidé de suivre les pas.
Arrivés vers 9h au lieu-dit rendez-vous à l'office du tourisme direction le Musée d'Alexandre Dumas où nous attendent dans les salles d'un hôtel particulier, des souvenirs émouvants notamment les lettres manuscrites des parents (le Général Dumas et sa femme Marie-Louise Labouret) et de l'immense écrivain (une page du Comte de Monte-Cristo de sa superbe écriture, est particulièrement évocatrice).
Visite terminée, en route pour le tour de Villers-Cotterêts, charmante ville provinciale où de sa maison natale au cimetière dans lequel il ne repose plus depuis son transfert au Panthéon, nous avons pu revivre les principaux faits de son enfance et de sa jeunesse (entrée à l'école, premier travail comme saute-ruisseau, première communion).
Ceci achevé en route pour trouver dans la superbe forêt de Retz, un lieu pour pique-niquer près des mares où Alexandre pratiquait "la marette" et la "pipée".
L'estomac lesté, de nouveau le car, après une promenade dans le Parc de Marly, il ne nous restait plus qu'à pénétrer dans le domaine du château de Monte-Cristo, où de 1847 à 1851 il recevait ses amis et leur préparait parfois de succulents plats de sa composition.
Puis ce fut le retour pour Paris où malgré quelques ralentissements nous étions vers 19h30 ; une journée bien remplie !
Le titre de l'exposition " Balzac en ganimé, du manga à la Touraine " dans la Maison de Balzac jusqu'au 25 septembre, m'attirait, aimant Balzac et la Touraine, tout en me rendant perplexe.
Je suis revenu enchanté de cette visite. Tout d'abord le " ga - nime" la combinaison de "ga " qui signifie peinture ou image fixe et " anime " qui fait référence à l'animation.
Deux salles sont réservées à la présentation de dessins, peintures et images de synthèse ayant servis à réaliser un film illustrant, dans une technique d'animation originale, une nouvelle peu connue de Balzac " La Grenadière ".
Le film de 48 mn passe en boucle racontant, telle une BD japonaise (manga) une histoire belle et mélancolique baignant dans l'atmosphère si mystérieuse de la Loire.
Quel plaisir de découvrir, grâce à 2 artistes japonais admirateurs de l'immense écrivain, une nouvelle bien méconnue !
Cette exposition vaut le déplacement, elle a, de plus, le mérite, non négligeable, d'être gratuite et de nous faire profiter du cadre si évocateur de la Maison de Balzac, celle-ci nous replongeant si intensément dans l'atmosphère très XIXeme siècle, dans laquelle baigne cette histoire tourangelle.