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  • L'Hôtel de Soubise

    paris,musée

    Jusqu'au 24 avril aux Archives Nationales (Hôtel de Soubise) est présentée l'exposition "Dans l'atelier des Menus Plaisirs du Roi". Une série de dessins et d'estampes nous permet de nous représenter les spectacles, fêtes et cérémonies se déroulant avant tout à Paris et à Versailles au XVIIe et XVIIIe siècles

    Il ne s'agit pas de présenter les spectacles eux-mêmes mais la genèse de leur création. C'est dans un but d'économie que les décors éphémères, souvent fort coûteux, furent gardés en vue d'un éventuel réemploi.

    Une fois les estampes et les dessins scrutés ne pas oublier d'aller admirer, on ne s'en lasse pas, les appartements de la Princesse de Soubise avec en prime, sous vitrines, la présentation des documents les plus essentiels de l'Histoire de France (l'Edit de Nantes, le testament de Louis XVI, de Napoléon et bien d'autres) ainsi que les indices appartenant aux affaires criminelles parmi les plus célèbres (assassinat du Duc de Berry 13 février 1820, attentat de Fieschi 28 juillet 1835, affaire Choiseul-Praslin 17 août 1847).

    Jean-Paul

  • Expo "Femmes éternelles"

    visuel_femmes_eternelles.jpgCliquez sur l'image pour l'agrandir

    Une fois de plus les grilles du jardin du Luxembourg nous convient à une superbe exposition ouverte ce 8 mars 2011 à l’occasion de la journée de la femme.

    Il s’agit d’environ 80 photos grand format de femmes à travers le monde, prises pendant 35 ans par le reporter-photographe Olivier Martel.

    Pas d’ordre chronologique ni géographique. Plutôt une juxtaposition parfois saisissante de clichés de paysannes du Guatemala, de danseuses khmères (Cambodge)… le propos de l'auteur étant de montrer la diversité, les contrastes et les ressemblances de toutes ces femmes du monde entier.

    Les couleurs chatoyantes des habits de fête au Japon et en Chine qui contrastent terriblement avec les couleurs sombres des « féticheuses » en pays Agni de Côte d’Ivoire. Contextes de fêtes mais aussi de misère, conditions climatiques parfois extrêmes…

    Du 8 mars au 15 juin.

    Colette C.

  • Les Claudel

     Faut-il que je prenne seule la plume à nouveau pour remémorer notre dernière conférence ?

    Qui va enfiler sa blouse pour m'aider sur "ce chantier" ?

    Allez-vous rester de "marbre" ?....

    En tous les cas, mes mots n'y seront pas gravés ! En cet après-midi, bien à l'écoute, nous avons observé et conservé les nombreuses reproductions des splendides statues de Camille et Rodin, pour mieux connaître leurs oeuvres respectives à travers ces deux vies racontées, en parallèle, car on ne peut pas parler de Camille, sans évoquer son "idole et maître", évidemment.

    parisTant de talent déployé dans cette jeune femme au caractère trempé, tant d'espoir et désespoir pour un unique amour, quelle déchéance pour cette artiste au coeur brisé, et cette abominable fin, délaissée jusqu'au dernier moment de sa vie. Tourmentée elle était, tourmentée demeura !

    À notre époque, ne croyez-vous pas qu'il en serait autrement ? On a envie de le croire.

    Si Paul son frère, a si bien fait son chemin à travers le monde, n'avait-il pas lui aussi l'esprit compliqué ?paris

    Quelques passages lus de ses écrits, ne nous ont-ils pas laissés perplexes ? Pourtant ces deux-là semblaient se comprendre, mais leur éloignement fut néfaste à Camille, souffrant de l'intense vide affectif.

    Maintenant que nous voici plus éclairés par l'exposé si vivant entendu, nous pouvons aller admirer les personnages de marbre et bronze réalisés suivant modèles ou d'inspiration, reflets d'une immense sensibilité et grâce au travail acharné des mains créatrices de ces deux génies.

    Le Musée qui leur est consacré, attend notre prochaine visite... Bien sûr, avec nos yeux d'experts !

    Ninette

  • Château de Versailles

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    (Plus de détail, cliquez sur les images)

    Jusqu'au 3 avril le Château de Versailles propose l'exposition "Sciences et Curiosités à la Cour de Versailles".

    Déjà rien que l'introduction mérite le détour, sous la reproduction du globe céleste de Coronelli un film "full HD 360°" nous montre que le château et ses dépendances (Petit et Grand Trianon...) ainsi que ses environs (Marly, Rambouilet, Maintenon...) ont accueilli toutes les formes de l'activité scientifique. C'est un aspect méconnu mais ô combien intéressant de le vie à la Cour de Versailles. Absolument passionnant.

    Pour complèter cette visite vous ne pouvez bien entendu que visiter les Grands Appartements, où jusqu'au 19 juin sont présentés "Les trônes en majesté". Ceux-ci ne choquent pas dans ce superbe décor, tout au contraire.

    Nous pouvons ainsi admirer un palanquin royal siamois offert à Napoléon III dans la galerie des Glaces, le trône de Dagobert dans le salon de l'Abondance et celui du tsar Nicolas II dans le salon de Vénus. On ne peut tous les nommer. Vous saurez même ce qu'est un faldistoire (c'est vous dire !)

    Jean-Paul

  • Un ratelier ?

    Un appareil de fausses dents ? OK ! Mais aussi...

    Une sorte de grille fixée au mur d'une écurie ou étable, qui reçoit le foin pour l'alimentation du bétail ? Bien.

    On donne aussi ce nom dès le XVIeme siècle à des meubles appuyés contre un mur servant à accrocher des fusils.

    Puis au XIXeme à des petites tablettes munies de trous où l'on rangeait les pipes.

    Ninette

  • Expo "Lucas Cranach l'Ancien (1472-1553)

    cranach-luxembourg.jpgLe musée du Luxembourg nous propose une très belle exposition de Lucas CRANACH l’Ancien, peintre et sculpteur de la Renaissance germanique.

    L’occasion de contempler des œuvres magnifiques, d’une élégance courtoise et raffinée, sur panneaux de bois, avec de superbes couleurs, un dessin méticuleux des vêtements ou des chevelures, la finesse des voiles transparents qui viennent cacher une nudité pleine de sensualité.

    Des thèmes bibliques, des portraits, des nus bien sûr et d’autres œuvres illustrant par exemple le «pouvoir des femmes». J’ai d’ailleurs beaucoup aimé la scène ou cette dame qui met la main dans la Bouche de la vérité….

    De plus, il y a une intéressante juxtaposition des gravures de Dürer et des œuvres de Cranach l’Ancien mais aussi de Cranach le Jeune (son fils) et bien d’autres artistes.

    Exposition jusqu’au 23 mai 2011.

    Colette C.