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  • La chandeleur

    En ce dimanche de fin février, le ciel s'annonçait morose autant que le climat ambiant. Je me rendais à "La Chandeleur" organisée par l'Arvem.

    Je passais la Durance quand je fus tout à coup mise en joie par de joyeuses clameurs, une table en fête, une musique en sourdine.

    Nous avons ri, nous avons chanté, nous avons dansé, nous nous sommes régalés des délicieuses crêpes et beignets concoctés par nos Avermois (ses), nous avons dégusté de bons cidres et crémants offerts en abondance.

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    Le temps d'une chanson, Titine s'est rêvée en Dalida,Yves en Gainsbourg.... et nous avons découvert les talents de notre conteur Jean-Paul, nous avons admiré notre troubadour, Jean-Yves, plus en verve qu'à l'habitude. Et d'autres.... bravant leur timidité, tantôt émouvants tantôt très drôles !

     

     

    Le soleil, il était là, en ce dimanche de fin février, chez nous, les Avermois.

    Martine C

  • Lire "Profession de mon père" de Sorj Chalandon

    paris,livreMon père disait qu’il avait été chanteur, footballeur, professeur de judo, parachutiste, espion, pasteur et conseiller personnel du général de Gaulle jusqu’au jour où celui-ci l’avait trahi… Alors mon père t’a demandé de l’aider à tuer de Gaulle. C’était un ordre et j’étais fier…

    Un livre intense en émotions, des réflexions sur la crédulité des enfants ou sur l’admiration qu’ils portent à leur père et bien d’autres choses encore.

    Un formidable roman.

    Colette C

  • Visite "L'hôtel de Lauzun'

    Après la discussion ayant trait au duc de Lauzun, j'avais un rêve, visiter l'Hôtel de Lauzun dont il fut l'éphémère propriétaire de 1682 à 1685.

    Grâce à Arvem voici un vœu exaucé. Cela valait la peine de gagner le quai d'Anjou dans l'Ile St-Louis. Profitant d'une remarquable restauration, l'heureux touriste peut admirer de magnifiques appartements qui par leurs superbes décors du XVIIeme siècle, rivalisent en réduction, avec Versailles et Vaux le Vicomte.

    L'Hôtel de Lauzun Trésor de l'Ile St-Louis.jpgSi vous quittez à regret ce lieu si évocateur du Grand Siècle, un livre vous est proposé superbement illustré vous proposant l'histoire de l'Hôtel et une visite commentée vous entrainant dans les salles visitées, puis dans les étages fermés au public.

    Une découverte que nous n'oublierons pas.

    Si le cœur vous en dit le livre "L'Hôtel de Lauzun Trésor de l'Ile St-Louis" de Raymond Boulhares et Marc Soleranski est édité chez ARTELIA.

    Jean-Paul

  • Programme mars 2017

    Jeux de société
    Vous cherchez des partenaires, vous désirez vous initier ! Venez nous rejoindre.

    Scrabble, tarot, belote
    Lundis 13 &  20 mars de 18h30 à 21h30
    Samedi 11 mars à 10h30 & 17h15

    Échecs
    Lundi 13 mars de 18h30 à 21h30

    Bridge
    Lundi 13 & 20 mars de 18h30 à 21h30

    Tournoi tarot
    Lundi 6 mars à 18h30

    Samedi 4 mars à 14h15
    Visite guidée du musée Jean-Jacques Henner

    Samedi  11 mars à 14h30
    Discussion de Jean-Paul : Gabrielle Chanel

    Mercredi 15 mars à 18h30
    Billard américain

    Samedi 18 mars à 14h30
    Balade photos

    Dimanche 19 mars à 11h30
    La bonne franquette

    Lundi 20 mars à 19h
    Atelier d'écriture

    Lundi 27 mars à 18h30
    Atelier photos

  • Discussion "Le radeau de La Méduse"

    parisQuand on regarde ce tableau on se demande pourquoi et comment des hommes se sont retrouvés ainsi. Bien sûr un naufrage en est la cause, celui de la frégate "La Méduse" partie le 17 juin 1816 de l'Ile d'Aix pour Saint-Louis du Sénégal.

    Commandée par un capitaine de frégate, Hugues Duroy de Chaumareys, un noble de retour d'Angleterre émigré depuis environ 20 ans, du fait de la Révolution, qui n'avait pas navigué depuis tout ce temps, très méprisant envers les marins, avec des idées et un comportement de l'Ancien Régime. Il n'avait pas compris le changement de politique !

    Embarqué avec autour de 400 personnes, des fonctionnaires, des colons, des scientifiques, des soldats, 12 canons, des barriques de vins et d'eau, quatre bateaux sont partis dans cette expédition, La Méduse en tête étant la plus rapide, qui vite prit le large la grande voile déployée, le capitaine fonçant en avant sans écouter les conseils des marins, sans s'occuper des autres bateaux.

    Vers les côtes mauritaniennes les courants sont dangereux et de plus, le banc de sable d'Arguin est un piège à éviter. Navigant trop près de la côte pensant avoir dépassé le banc, La Méduse s'échoua à marée haute le 2 juillet 1816.

    Pour alléger le navire matériel et canons sont largués et un radeau est construit "la machine" de 140 m2 afin d'y recevoir les barriques, les voiles de rechange, les câbles, diverses marchandises : 152 personnes ont pris place. Chaumareys lui, est parti dans un canot et arrivera à Saint-Louis du Sénégal.

    Le radeau a été remorqué avec 3 filins par des canots, mais ceci s'avéra inefficace et le radeau chargé sera abandonné à son propre sort, et deviendra témoin d'émeutes, de bagarres meurtrières, des blessés, des suicides, bref, beaucoup d'hommes disparaîtront.

    Comment se nourrissaient-ils ? Lire la suite ICI