Josiane, adhérente Arvem, expose du mardi 12 au samedi 30 juin de 12h à 22h30 au Moulin à café, 8 rue Ste-Léonie, Paris 14è (M° Pernety).
Vernissage mardi 12 juin à 18h.
Jeanet
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Josiane, adhérente Arvem, expose du mardi 12 au samedi 30 juin de 12h à 22h30 au Moulin à café, 8 rue Ste-Léonie, Paris 14è (M° Pernety).
Vernissage mardi 12 juin à 18h.
Jeanet
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Marie Claire, adhérente Arvem, expose ses peintures à l'Hôtel de Ville de St-Mandé, 10 place Charles-Digeon (M° St-Mandé).
Jeanet
Cette exposition se tient au Musée de l'armée, à l'intérieur des Invalides. Elle couvre toute la période d'occupation française de la conquête à l'indépendance.
Beaucoup de documents papiers, sonores, visuels (documents, tableaux, costumes...). Tous les aspects y sont traités, sans parti pris apparent, le sujet étant toujours sensible : l'occupation, la vie au quotidien, l'OAS, les harkis, les pieds noirs, l'armée, le FLN, la torture, la politique.... et j'en oublie.
C'est très intéressant, bien documenté, complet. J'y suis resté 1h30 mais si on veut tout lire, voir et entendre, il faut bien compter 2h. J'y retournerai sûrement.
Jean O.
Tous ceux qui aiment Victor Hugo devraient jusqu'au 19 août se rendre place des Vosges dans la Maison de Victor Hugo, pour visionner l'exposition "Annie le Brun Les arcs-en-ciel du noir".
Depuis sa jeunesse le grand écrivain est fasciné par le noir. Les dessins exposés en portent témoignage. En complément ils pourront examiner à loisir des documents émouvants, comme la lettre à Adèle Hugo du 10 septembre 1843 après la mort de Léopoldine, et la robe de la princesse Négroni portée par Juliette Drouet dans Lucrèce Borgia en 1833.
C'est une exposition réellement fascinante pour les Hugophiles.
Jean-Paul
Jusqu'au 2 juillet, le Musée de Cluny dans le cadre de l'exposition "Cluny 1120 : Au seuil de la Major Ecclesia" nous permet à l'aide d'un film, de photographies et d'une maquette grandeur nature, d'avoir une idée du grand portail de l'ancienne abbatiale de Cluny III.
Cette abbatiale (la Major Ecclesia) fut avant sa démolition sous la Révolution un édifice absolument extraordinaire, dont les quelques restes présentés dans l'exposition (un chapiteau superbe, une statue de St-Pierre et l'aigle de St-Jean) portent témoignage.
Une exposition à recommander à tous les amoureux du Moyen-Age.
Jean-Paul
Voulez-vous tout connaître (ou presque) sur leur histoire, leur évolution scientifique et technique, et leur fonctionnement ?
Rentrez vite avant le 4 novembre au Musée de la Marine pour parcourir les nombreuses salles de l'exposition "Phares". Vous y découvrirez ainsi, une riche documentation visuelle et autre sur les fouilles subaquatiques effectuées en Egypte (le phare d'Alexandrie) et connaîtrez mieux grâce à de nombreuses maquettes et vidéos, la vie dans ces gardiens vigilants de nos côtes.
Jean-Paul
Jusqu'au 15 juillet le Musée de la vie romantique présente à l'aide des collections du Musée Carnavalet l'exposition "Théâtres romantiques à Paris".
C'était l'époque où le boulevard du Temple était le boulevard du Crime, et Talma et Rachel en brûlaient les planches.
Exposition très intéressante qui nous plonge dans le Paris du XIX eme siècle. Une visite du Musée de la vie romantique complète bien la journée, de récents achats agrémentent les salles pourtant déjà bien aménagées précédemment.
Jean-Paul
Jusqu'au 5 août le Petit Palais réalise l'exposition "J. M. Sert, Le Titan à l'oeuvre". José Maria Sert est un peintre catalan qui fréquenta durant la 1ere moitié de XXeme siècle, ce qu'on appelle le "Tout Paris". Il travailla notamment pour Gabrielle Chanel et Arthur Capel le grand amour de cette dernière.
C'est une exposition bien agencée qui mérite le détour. Les maquettes présentées nous permettent de nous rendre compte de l'impressionnante oeuvre réalisée par cet artiste.
Jean-Paul
Jusqu'au 15 juillet la Bibliothèque Nationale de France site François Mitterrand présente pour les visiteurs "La presse à la une : de la Gazette à Internet".
Cela n'a rien à voir, mais en comparaison cette exposition est moins élaborée que la précédente sur Casanova présentée dans le même site.
De Théophraste Renaudot (fondateur de la Gazette) à nos jours, vous découvrez tout d'abord l'importance prise par la presse écrite avec quelques "unes" célèbres (l'Aurore de J'accuse, "La Presse" du vol transatlantique de Nungesser et Coli ....)
Puis arrivent les reportages cinématographiques (la fin de la bande à Bonnot comme si vous y étiez ....) Enfin c'est Internet, là nous sommes bien loin de la Gazette. Doit-on s'en féliciter ?
Jean-Paul
Afin de partir à la découverte de Degas, nous sommes accueillis par le sourire et la voix douce de Karine, guide qui nous a déjà accompagnés et éclairés lors d'autres visites.
La femme est présentée dans son intimité en positions parfois difficiles, lors de sa toilette, prenant soin des différentes parties de son corps, sortant de son bain, s'essuyant, coiffant sa longue chevelure souvent rousse.
Elle est présentée la plupart du temps de dos, celui-ci dévoilant facilement l'âge, parfois l'origine sociale. Le grain d'une peau blanche apparaît, les imperfections du corps sont marquées. Le visage étant rarement visible, nous ne percevons pas de sourire, serait-il caché ?
Les maisons closes sont une source d'inspiration, ici les femmes oisives, en attente, sont plutôt replètes. Les femmes menues à la peau plus colorée sont rencontrées dans le milieu ouvrier où elles sont plus actives. L'opéra est aussi un lieu où Degas rencontre des "petits rats" pour modèle (entre autre), et qu'il réalise en sculptures. Ah ! Les petites danseuses, celles ci sont fréquentées par ce milieu artistique ou bourgeois, pour qui, pour quoi ?
Vu d'ensemble, il est possible de penser que Degas est là en observateur, devant une femme objet plutôt que sujet. Chaque geste est un silence.
Après deux heures de visite guidée détaillée, il est possible de flâner près des sculptures du hall d'accueil, ou d'aller se restaurer.
Annick D.