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Vos sorties - Page 13

  • Film "Les plus belles années d'une vie"

    Lequel d’entre nous n’a-t-il pas été bercé par la si belle chanson "Un homme, une femme", l’a souvent fredonné et tombé en amour de Jean-Louis Trintignant et Anouk Aimé, si jeunes, si beaux, si séduisants dans le film qui a enchanté notre jeunesse et nous enchante encore ?

    Je redoutais la suite 50 ans plus tard, mais j’y suis allée. Et là… mon enchantement est réapparu. "Les plus belles années d’une vie" est une ode à l’Amour, à la Vie, au temps qui passe…

    Film lumineux, magnifique !

    Martine C "

  • Film "Le mystère Henri Pick"

    Le pizzaiolo de Crozon est-il l’auteur d’un livre à succès ?

    C’est l’enquête à laquelle un critique littéraire interprété par Fabrice Luchini va se livrer dans ce film qui va vous transporter de ce joli port breton au monde littéraire parisien.

    Vous suivez l’enquête avec intérêt, sans un moment d’ennui dans un climat de grande sérénité. Même Fabrice Luchini la joue paisible c’est vous dire !

    Je ne vous donne pas le résultat de l’enquête. A vous de vous déplacer, vous ne le regretterez pas.

    Jean-Paul

  • Film "Qu’est-ce qu’on a encore fait au Bon Dieu n°2”

    On a envie de tous les retrouver .

    Mais cette fois–ci sans la surprise donnée par les différentes origines des gendres. Cependant elles se réveillent pour animer fortement les conversations, faire surgir l’animosité et devenir prétexte pour tourner le dos à la France.
    Mais les beaux-parents ont l’imagination fertile...

    Un film enlevé, dans lequel on ressent une équipe d’acteurs soudés, qui prennent un réel plaisir à se renvoyer la balle...et nous font passer un bon moment.

    Ninette

  • Film "L’incroyable histoire du facteur Cheval"

    Si vous voulez voir réaliser par un modeste facteur mutique de la France profonde la construction d’un Palais Idéal, courez vite voir "L’incroyable histoire du facteur Cheval".

    Vous ne serez pas déçu. Vous vivrez en compagnie de Jacques Gamblin et de Laetitia Casta la réalisation qui semblait folle de ce monument que des visiteurs du monde entier viennent admirer.

    Le spectateur du film peut sans se déplacer admirer ce véritable chef d’œuvre dans les moindres recoins, à lui d’en profiter. Il reviendra enchanté.

    Jean-Paul

  • Venez jouer avec les expressions françaises

    Vous aimez jouer avec les expressions françaises ...... Atout livre au 203 bis Avenue Daumesnil, 75012 Paris, vous propose une soirée autour de ce thème.

    Information fournie par Atout Livre

    Jeu Bescherelle.jpg Fred Elola est le concepteur du jeu A l'origine des expressions françaises, édité par Hatier sous le prestigieux label Bescherelle.

    Il a accepté notre invitation et sera présent le vendredi 15 février,  partir de 19h30.

    Nous discuterons un peu afin de vous présenter le jeu, mais très vite, nous passerons à la pratique !

    En petit amuse-bouche, essayez déjà de déterminer quelle est la véritable origine de l'expression "amuser la galerie" ?

    hypothèse numéro 1 : Au théâtre, il y a la fosse, où s'amusent les gens du peuple, et la galerie, où s'installe le beau monde. Les comédiens ambitieux cherchant un protecteur veillaient surtout à "amuser la galerie"...

    hypothèse numéro 2 : Au jeu de paume, ancêtre du tennis, le public s'installait dans des galeries, sortes d'allées couvertes. Les joueurs rivalisaient d'adresse et de virtuosité pour divertir les badauds qui s'y pressaient.

    hypothèse numéro 3 : Au Moyen-Age, les saltimbanques s'installaient dans les galeries où se situaient les marchands pour distraire les badauds et récolter quelques pièces.

    Une seule de ces hypothèses est la bonne ; saurez-vous deviner laquelle ?

    La réponse (et d'autres questions, et d'autres réponses !) vendredi 15 février !

    Jeanet

  • Théâtre "Alexandra David-Neel" Mon Tibet..."

    Alexandra_David_Neel.jpg

    Alexandra David-Neel "Mon Tibet..." de Michel Lengliney
    Mise en scène et décor de Claude Laucournet,
    Avec Sophie Margalet et Laure Reutermann
    Théâtre Auguste Dobel,
    du 18 janvier au 10 février, 9 rue Philidor (75020).

    Si la curiosité vous pousse à mieux connaître cette personnalité légendaire, symbole des vies de femmes libres, aventureuses, érudites et en quête d'absolu, courez voir cette pièce présentée au théâtre Auguste Dobel par la compagnie Aurore dont nous avons déjà apprécié les initiatives aussi hardies que talentueuses.

    Nous sommes à la fin de la vie de l'héroïne, embauchant une aide dont les tâches mal définies au départ (dans la réalité Marie-Madeleine Peyronnet) se révèleront multiples, de secrétaire à femme de ménage.

    Les rapports entre les deux femmes, dans leur subtilité et leurs perpétuels déséquilibres et réajustements-ceux-ci en raison de l'humeur et des convictions têtues d'Alexandra, sont admirablement servis par un dialogue brillant, dont les à-coups et les ruptures font virer au comique ces derniers moments d'une vie exceptionnelle-qui auraient pu être tragiques ou au moins mélancoliques.

    La mise en scène de Claude Laucournet, très sobre et nuancée, soutenant ces revirements psychologiques par les déplacements et fausses morts de son personnage met efficacement en relief cet échange toujours imprévisible et sa progression vers une intimité tendre, un attachement qu'aucune ne voudrait voir se rompre. La musique (une bande-son d'Hugo Caruana) épouse efficacement les changements de ton et de situation.

    Sophie Margalet est remarquable dans le rôle d'Alexandra. D'autres textes nous avaient fait découvrir son talent. Elle est ici éblouissante entre autoritarisme, résolution passionnée et dure, et vulnérabilité juvénile. Le jeu de sa partenaire est à la hauteur, ferme et sensible à la fois, opposant des forces qui prennent parfois l'aspect de l'impuissance, de la colère et du désespoir au volontarisme stoïque de la championne.

    Grâce à ces talents conjugués l'essentiel des choix lisibles dans cette biographie est reçu et visiblement apprécié par le public : un féminisme qui n'exclut pas les hommes, dans la plus grande liberté des deux : quittant à jamais un mari infidèle, Alexandra continue à le chérir et lui de loin à la soutenir, y compris financièrement, dans ses expéditions ; éloge de la solitude qui ne doit pas être vécue comme un échec mais comme une jouissance ; revendication d'égalité sociale avec des allusions aux méfaits d'une certaine politique encore actuelle ; nécessité de la culture, particulièrement de la lecture, et de celle de la méditation qui permet d'envisager simultanément et sereinement vie et mort, se traduisant par cet étrange refrain que fredonne Alexandra, rythmant ses avancées difficiles: "un pas vers la mort", endurance physique visant à toujours repousser les limites de la machine, entretenue sans cesse à travers ses exploits. D'exploratrice ; orientalisme bouddhique joint à une extrême lucidité permettant d'approfondir et de mettre en pratique cette philosophie de l'existence.

    En cette période instable et incertaine nous repartons du théâtre enchanté(e)s, enrichi(e)s, éclairé(e)s, affermi(e)s.

    Marie-Claire CALMUS

  • Film “Colette”

    J’avoue avoir hésité avant de décider à me procurer un billet pour Colette en version originale. Entendre parler anglais à St Sauveur-en-Puisaye me semblait un non- sens.

    Il faut reconnaître que très vite le spectateur s’y fait. Nous assistons avec plaisir à la conquête de la jeune Colette par ce très parisien de Willy qui va très vite profiter de ses dons d’écrivain pour gérer le phénomène littéraire que sera "Claudine à l’école".

    Ensuite la jeune femme s’émancipera, "ô combien” jusqu’à jouer au "Moulin Rouge" en tenue plus ou moins légère en compagnie de son "amie" Missy.

    Un film à voir par les admirateurs de l’écrivain et par les nostalgiques de la "Belle Époque".

    Jean-Paul

  • Les Silkwood - American folk acoustic Music

    Bastide_Pierre_TeaMelody.png

    Le 25 janvier 20h Tea Melodie -72 bd de Picpus - reçoit le groupe Silkwood composé de Roger Hoeberichts (chant et guitare ) et de Pierre Bastide (banjo et chant).

    Tea melodie c'est un salon de thé qui fait également restaurant.

    De temps en temps nous allons y dîner. Les plats du jour sont faits maison. Les glaces viennent de chez Berthillon, les thés de chez Mariage Frères, et le saumon de chez Volga. L'accueil est chaleureux.

    Jeanet