Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • 1 - Les passages couverts "Quartier St-Honoré"

    Un bon orage se déclare juste avant notre R.V pour la promenade des passages couverts. Après une bonne rincée, une vingtaine de courageux, parapluies en mains, se dit : "Quand faut y aller, faut y aller" !

    Finalement, plus l'heure tourne, plus le ciel devient clément et puis sous les passages, nous sommes à l'abri.

    Commençons par ceux du vieux QUARTIER SAINT-HONORE

    LA GALERIE VERO-DODAT fut la 1ere galerie (1826), son nom celui de 2 charcutiers célèbres. C'est une succession de boutiques uniformes aux devantures de glaces liées par des bagues en cuivre, au plafond peint de paysages, et une jolie frise de palmettes dorées orne le haut des murs. Très beau.

    Passons devant "la maison des bons-enfants", originale avec ses façades recouvertes de fer forgé gris entrelacé ; Voici le jardin du Palais Royal , les colonnes de Buren.

    Entrons dans LA GALERIE D'ORLEANS (1829), Autrefois temple de la galanterie "les femmes de mauvaises vies" nommées " Castor, 1/2 Castor, Castor fini" possédaient leurs catalogues d'activités professionnelles......

    Le 1er étage était autrefois, occupé par des cafés, cabinets de lecture, tripots, jeux. La fameuse phrase de 1968 " Interdit d'interdire " aurait été prononcée à l'époque par le Duc d'Orléans propriétaire des lieux !

    Au passage découvrons là, où Colette a passé ses dernières années.

    Continuons par le passage DES 2 PAVILLONS pour accéder :

    À LA GALERIE VIVIENNE (1823) la plus grande, la plus élégante avec sa décoration empire. Repérons un négociant en vins, que des grands crus, d'énormes bouteilles dans une boutique de présentation ancienne. Vidocq aurait demeuré là au n° 13.

    Au sortir , un coup d'œil sur la vitrine de Jean-Paul Gaultier

    Voici LA GALERIE COLBERT rivale de VIVIENNE, construite pour concurrencer celle-ci, avec une rotonde au "dôme vitré " de 15 m de diamètre.

    Pas de commerces, mais de nombreuses salles probablement de réunions, réservées à des institutions (Institut national des Arts, Universités etc..) D'où la présence d'un gardien à chaque extrémité !

    LE PASSAGE CHOISEUL (1826) le plus long 190 m tous commerces, là se trouve le "Théâtre des Bouffes Parisiens" où Offenbach connu le succès. Céline, y ayant passé son enfance, l'appelait "Le passage de la Bérézina" ! Sa mère possédait une boutique de mode "Morgane" qui existe toujours.

    Passons devant l'Opéra Comique de 1714, réhabilité ; bien beau ! Autrefois "Salle Favart", nom du créateur de comédies musicales où comédiens, chanteurs, musiciens, tous français s'y produisaient.

    Tournons la tête ! Tiens ? Juste en face la maison natale d'Alexandre Dumas Fils.

    Prochainement "Les passages des Grands Boulevards"

    Ninette

  • Comment enlever des étiquettes collées

    On est souvent amené à enlever des étiquettes collées sur divers objets. Cette opération est souvent délicate à réaliser sans endommager l'objet.

    Pour y arriver sans peine, le truc est de badigeonner l'étiquette d'huile de table au moyen d'un coton‐tige en prenant soin de ne pas déborder. Attendre que l'huile pénètre jusqu'à la colle et l'étiquette pourra être facilement retirée.

    Marie-Françoise H

  • À vous de jouer ? (104)

    Qui a écrit " Qui veut noyer son chien l'accuse de la rage"

    • Molière
    • La Fontaine
    • La Bruyère

    Qui a écrit "Il faut bien tuer ce qu'on aime" ?

    • Jean-Paul Sartre
    • Sacha Guitry
    • Françoise Sagan

    Qui a écrit "La femme est naturelle c'est-à-dire abominable" ?

    • La Bruyère
    • Baudelaire
    • Balzac

    Réponse jeudi prochain

    À vous de jouer n°103

    Quel métal est le plus lourd ?

    • le mercure

    Quel est le métal le plus malléable ?

    • Le plomb

    Quel métal n'a pas de propriétés magnétiques ?

    • le potassium
  • Une trembleuse.

    Que voilà un drôle de nom !

    Un objet qui tremble ? À quoi cela peut-il bien servir ?

    Eh ! Bien ! C'est tout le contraire. C'est une sorte de tasse retenue dans une soucoupe, soit par une galerie, soit par une légère cavité, ce qui l'empêche de glisser et de se renverser.

    Ninette

    trembleuse.jpg

  • Balade sur les pas d'Alexandre Dumas

    La chanson dit : "Alouette je te plumerai, la tête", j'ai cru comprendre "Ninette je te plumerai la tête". Et pourquoi faire?

    Pique-nique-Fore-Retz.jpgDoutant de sa capacité, non, la plume de mon serre-tête n'écrira pas ! Aurait-elle le style suffisant pour ne pas me faire résumer, comme une oie blanche, cette journée magnifique, passée dans les traces d'Alexandre Dumas ?

    Même avec le stylo, je laisserai donc cette tâche à plus calé. Un nègre ? Un esclave ? Non au passionné qui bouclera ainsi le sujet.

    Lors de la discussion précédente, si vous n'avez pas tout saisi, ou si vous avez oublié quelques détails, sur le Général et Alexandre Père, là, vous avez été servis en informations répétées. Mais de quoi parler d'autre dans ces lieux, que de ces deux destins bien remplis ?

    En ce qui me concerne, pour ne pas manquer à mon devoir de "scribouillarde" je vous ferai part de banalités et balivernes sur cette balade en Picardie agréablement guidée sous un beau soleil, puis le pique-nique dans cet endroit paisible au vert, enfin la beauté du site de Port Marly.

    Vos photos appuieront mes dires !

    Cette journée vécue comme un avant goût de vacances, me rappelle la fin des années scolaires avec le bilan du conseil des maîtres ! Que ce serait-il dit ?

    Lire la suite >>>

  • Sur les traces d'Alexandre Dumas

    Ce matin du samedi 26 juin 2010 branle-bas de combat dans la maison, il s'agit de ne pas rater le départ du car Place de la Nation, dès 7h30 pour Villers-Cotterêts terre natale d'Alexandre Dumas dont nous avons décidé de suivre les pas.

    IMG_2828.jpgArrivés vers 9h au lieu-dit rendez-vous à l'office du tourisme direction le Musée d'Alexandre Dumas où nous attendent dans les salles d'un hôtel particulier, des souvenirs émouvants notamment les lettres manuscrites des parents (le Général Dumas et sa femme Marie-Louise Labouret) et de l'immense écrivain (une page du Comte de Monte-Cristo de sa superbe écriture, est particulièrement évocatrice).

    Visite terminée, en route pour le tour de Villers-Cotterêts, charmante ville provinciale où de sa maison natale au cimetière dans lequel il ne repose plus depuis son transfert au Panthéon, nous avons pu revivre les principaux faits de son enfance et de sa jeunesse (entrée à l'école, premier travail comme saute-ruisseau, première communion).

    Ceci achevé en route pour trouver dans la superbe forêt de Retz, un lieu pour pique-niquer près des mares où Alexandre pratiquait "la marette" et la "pipée".

    IMG_2898.jpgL'estomac lesté, de nouveau le car, après une promenade dans le Parc de Marly, il ne nous restait plus qu'à pénétrer dans le domaine du château de Monte-Cristo, où de 1847 à 1851 il recevait ses amis et leur préparait parfois de succulents plats de sa composition.

    Puis ce fut le retour pour Paris où malgré quelques ralentissements nous étions vers 19h30 ; une journée bien remplie !

    Jean-Paul

  • À vous de jouer ? (103)

    Quel métal est le plus lourd ?

    • le plomb
    • le fer
    • le mercure

    Quel est le métal le plus malléable ?

    • Le plomb
    • le cuivre
    • l'or

    Quel métal n'a pas de propriétés magnétiques ?

    • le nickel
    • le cobalt
    • le potassium

    Réponse jeudi prochain

    À vous de jouer n°102

    Quel rongeur chicote ?

    • la souris

    Quel oiseau gazouille

    • l'hirondelle

    Quel oiseau corbine

    • la corneille