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automne

  • Septembre

    Nous voici à l'automne
    La forte chaleur, la sécheresse c'est fini !
    Maintenant c'est la pluie
    Une météo moins monotone !

    paris,automne

    Terminé le ciel bleu azur,
    Le voici encombré de nuages qui assurent
    Bien trop fort leur puissance
    Et font  naître des nuisances.

    Décidément le climat est incontrôlable,
    Après les feux intenses, le manque d'eau
    Il perturbe les régions douces et agréables
    Fréquemment inonde les villes à gogo.

    Les rues transformées en torrent !
    Mais où va toute cette eau ?
    Ne peut-on la récupérer plutôt
    Que la laisser suivre son courant ?

    Elle file pour envahir désespérément
    Les habitations avec le désespoir
    Qu'éprouvent les habitants
    D'une telle catastrophe souvent à revoir.

    Alors évidemment je pense
    Qu'à Paris on a de la chance,
    Même si parfois on a eu envie
    De partir pour une autre vie.

    Être plus proche de la nature
    Sans penser à toutes ses blessures,
    La mer qui monte, les dunes qui s'écroulent
    En montagne, les blocs de rochers qui déboulent.

    Oui, mais on apprécie encore sa beauté
    Dès que la capitale on a quitté
    Raisonnablement il faut savoir profiter
    En toute saison de sa diversité.

    paris,automne

    Ninette

  • L'automne

    Octobre, voici l’automne
    Période guère monotone,
    Comme chaque année
    Je commence à m’épancher
    Sur les couleurs du ciel.
    Dès le matin telle,
    La luminosité encore tenace
    Celle d’un été qui s’efface.

    Saison qui de sa palette juste,
    Va maquiller arbres et arbustes,
    Enchanter notre regard
    Et ce n’est pas un hasard
    S’il faut vite admirer ce travail
    Avant qu’il ne déraille,
    Par le vent partir en l’air
    Pour ce coucher à terre.

    paris,automne

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Alors que la ville ronronne
    De toutes les activités des hommes,
    La nature adoucit par ses couleurs
    De notre quotidien, les ardeurs.
    Mais s’affaiblit à l’automne
    Annonçant son repos, en somme !

    Depuis tant d’années
    À ces changements je suis habituée
    Mais il me semble cependant
    Qu’ils arrivent plus vite, bizarrement.
    Je songe évidemment que cette vitesse
    N’est pas vraiment signe de jeunesse.

    Vais-je aussi prendre des couleurs ?
    Tant mieux, si j’écarte la pâleur
    Qui, au bon vivant fait souvent peur.
    Profitons du temps qui passe
    Avant que la vie ne lasse,
    C’est une pensée pour vous
    De l’automne, réjouissons-nous !

    paris,automne

     

     

     

     

     

     

    Ninette