Quel est le premier coureur à inscrire deux fois son nom au palmarès de la Grande Boucle ?
Réponse lundi prochain
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Quel est le premier coureur à inscrire deux fois son nom au palmarès de la Grande Boucle ?
Réponse lundi prochain
Afin de prolonger l'été, quelle bonne idée de se retrouver lors d'une balade, une marche dans la nature serait idéale, pourquoi pas au Bois de Vincennes ?
Notre guide, Michel nous propose une randonnée de huit kilomètres. Une le matin, à la fraîche, pour les lève-tôt, même parcours l'après midi. Neuf personnes à chaque groupe, sécurité au cas où nous rencontrions le loup. Afin de garder la forme, certains ont même fait les deux, test d'endurance réussi.
Bien sûr nous sommes masqués comme les schtroumpfs. Chaussés de baskets de sept lieues, sans oublier l'eau de source pour s'hydrater.
Lors de leurs promenades au bois, peut-être que certains ont tendance à suivre les mêmes chemins tout tracés d'une fois à l'autre. Cet après- midi, en suivant le courant d'eau, nous découvrons des espaces de verdure protégés, nous en sommes parfois surpris. Connaissez vous " la butte aux cornes"? Vous devez escalader, mais la peine en vaut bien la chandelle. On pourrait rester là à méditer, mais nous ne sommes pas seuls, dommage.
Cette butte domine le bois, nous laissant une vue vers Vincennes. Plus loin, vous devinez le parc des Beaumonts, limitant Vincennes Montreuil et Fontenay. Ce parc ombragé, majoritairement et volontairement sauvage, est un lieu idéal pour se retrouver seul, on se croirait en pleine nature.
En attendant de nous y rendre seul, nous continuons jusqu'au Club Hippique. Comme des chevaux fourbus, nous faisons une pause en se rafraîchissant au bar.
Nous nous séparons, ravis de cette escapade terminant l'été.
AnnickD
Après ces longues périodes d’isolements, Nous nous sommes retrouvés pour certains au Tea Mélodie autour d’un repas avec un concert du groupe SilkWood Blues (Roger Hoeberichts - Chant et guitare, Pierre Bastide - Banjo et voix, et Greg Kinsey - Harmonica).
Voici quelques extraits que j'ai filmé https://youtu.be/KFBYmXwoW7I
Ce fut très agréable et le temps était parfait. Cela a fait du bien de se retrouver
Yvesck
Si vous parlez de drouille vous êtes :
Drouille en argot désigne un objet de peu de valeur ou en très mauvais état.
L’auteur des écrits de cet ouvrage est unique : César. On y retrouve les “Commentaires” qui nous permettent de suivre les diverses péripéties de La Guerre des Gaules puis de la Guerre Civile qui mit aux prises César et Pompée.
On y trouve également des extraits des discours, des traités et de la correspondance qu’il rédigea depuis la mi-octobre 49 date à laquelle il fut désigné dictateur, jusqu’à ce qu’il enchaîne une série de charges politiques qui le maintiendront au pouvoir jusqu’à sa mort.
Un livre à recommander à tous ceux qui veulent connaître le plus intimement possible le grand César.
Jean-Paul
Si vous parlez de drouille vous êtes :
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C’est une riche idée qu’a eu l’auteur de faire visiter, par une belle journée de l’an 115 (Trajan étant empereur) la Rome antique par un visiteur contemporain.
Il visite bien entendu, les monuments de cette Rome antique, mais il en partage surtout le quotidien des habitants. Il pénètrera ainsi au cœur des Forums impériaux ainsi que dans les marchés aux esclaves.
Il s’assoira dans les gradins du Colisée pour assister aux combats des gladiateurs ainsi qu’à la table d’une modeste taverne.
Tout vous raconter est impossible. Il ne me reste qu’à vous dire que cette journée sera bien remplie et que le lecteur sort comblé de sa lecture.
Jean-Paul
Choisir le Cotentin pour ses vacances
Avec l’envie sur ses plages immenses
De pêcher coques et palourdes,
En faire bombance, sans doute,
Emportant des griffes de jardin
Pour dégoter mon futur festin.
Quelle ne fut pas ma déception
D’apprendre son interdiction
Durant la pleine saison, pollution,
Et ne voir personne gratter
En septembre ceci devait changer.
Un matin la mer se retirant
Je vois, tout en marchant
Enfin un homme s’affairer
Debout en train de bêcher
Ah! Pour creuser, il n’hésite pas !
Je ne me souvenais pas
Que les coquillages étaient si enfouis !
Je ne suis pas venue vers lui.
Mais tout près les oiseaux j’ai observé
Qui ce matin par milliers
Envahissent la plage ensoleillée
Certains s’étant approchés
Restent complètement figés.
Je me suis alors demandé :
Attendent-ils que le pêcheur
Enfin quitte les lieux ?
Alors les oiseaux judicieux
Pourraient récupérer
Ce qui s’était caché
Pas dans le trou, à côté.
Mon chemin j’ai continué
Et j’ai appris que des vers c’était
Ce que cet homme cherchait.
Le but : avoir un bon appât
Peut-être pourquoi pas
Taquiner le goujon
Ou pour ses poules et dindons ?
Des coquilles vides en quantité
Sur la plage, jonchent abandonnées
Parfois des pleines, fermées
Mais trop petites pour être ramassées.
Je n’ai pas eu mon plaisir finalement
Qu’un léger regret raisonnablement.
Me reste une fascination débordante
Envers cette baie si changeante
Par les différentes couleurs
De cette mer, suivant ses humeurs.
Quand aux coquillages, je me dis
Momentanément je leur ai sauvé la vie
Jusqu’à ce que les mouettes
Fassent les pique-assiettes !
Ninette
Je présenterai mon livre, un essai : "Les corps Esprits réduits au silence" éditions Editinter le vendredi 9 octobre à partir de 19h30 à la (*) librairie Publico, 145 rue Amelot, 75011
Ce livre a été écrit avant l'épidémie mais débusque déjà les tendances de la société actuelle à soumettre les corps et les esprits à un certain ordre politique, social, culturel.
Toutes de formes, de règles, de codes limitent, contrôlent, étouffent nos libertés, que la crise sanitaire a accentuées, fortifiées, durcies de façon inquiétante.
Pour lutter contre eux, l'esprit critique doit accroitre son activité et la parole doit recréer du lien social - celui-ci actuellement entravé par le port du masque, autre confinement.
Résistance individuelle et création de collectifs sont les seules façons de sortir du tunnel.
Marie-Claire Calmus
(*) Actuellement j'y expose six portraits d'écrivains et d'artistes.
Mon premier appartient à un cours d’eau.
Mon deuxième est l’action de faire sa toile.
Mon troisième est le travail des lavandières.
Mon quatrième est la meilleure note.
Mon tout est une capitale, mais de quel pays ?