À la chandeleur les jours croissent de plus d'une heure
Et le froid pique avec douleur
Etrennes d'honneur
Durent jusqu'à la chandeleur
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
À la chandeleur les jours croissent de plus d'une heure
Et le froid pique avec douleur
Etrennes d'honneur
Durent jusqu'à la chandeleur
Soirées Scrabble et Tarot
Vous cherchez des partenaires, vous désirez vous initier, venez nous rejoindre :
Lundi 2 février de 18h30 à 21h30 (Adhérent Gratuit)
Lundi 16 février de 18h30 à 21h30 (Adhérent 2.00€)
Samedi 14 février à 10h45
Gainsbourg et caetera
(Adhérent 9,00€)
Cette exposition ayant lieu à la Cité de la Musique est organisée grâce à des prêts exceptionnels consentis par la famille, et particulièrement Charlotte Gainsbourg, ainsi que par les proches de Serge Gaisnbourg.
Dimanche 15 février à 14h
Promenade avec Jean Paul : De la rue de Verneuil au cimetière Montparnasse
(Adhérent Gratuit)
Vous avez participé hier à la visite de l'exposition "Gainsbourg et caetera" ou vous comptez vous y rendre bientôt, c'est le moment de suivre, aujourd'hui, le chemin qui nous mènera de la rue de Verneuil, lieu de sa dernière demeure, au cimetière du Montparnasse, lieu de sa sépulture.
Cette promenade vous permettra bien entendu de découvrir ou redécouvrir quelques curiosités parfois bien méconnues dont Paris est si riche.
Samedi 21 février à 14h
Discussion : La Régence
(Adhérent Gratuit)
De 1715, mort de Louis XIV le "Roi Soleil" de moins en moins brillant, à 1723, majorité de Louis XV encore le "Bien-Aimé', se déroule cette période de 8 années, la Régence, parfois résumée à la débauche la plus effrénée.
Samedi 21 février à 16h30
La chandeleur
(Adhérent 2.00€)
Après la discussion de Jean-Paul, nous dégusterons quelques crêpes accompagnées de cidre.
Vendredi 27 février à 19h30
La Périchole
(Adhérent 16.00€)
Opéra-bouffe d'Offenbach plein de rebondissements et de coups de théâtre.
Non ce n'était pas un dimanche comme les autres !
Non ce n'était pas un rendez-vous comme les autres !
Non ce n'était pas une réunion comme les autres !
Non ce n'était pas un repas comme les autres !
Oui c'était une journée peu ordinaire !
Oui c'était des cuisiniers(ères) hors pair !
Oui c'était un repas peu banal
Oui dans une ambiance amicale.
Oui nous l'avions attendue
Cette journée de retrouvailles
Pour, comme de bien entendu
Enfin, évidemment, faire ripaille.
Mais après s'être restaurés
Arriva le moment de chercher
Des rois et reines, cachés
Qui devront mériter
Quelques cadeaux empaquetés.
Qu'ils étaient beaux bien couronnés !
Qu'elle belle brochette "épinglée"
Pour un moment, nous faire rigoler !
Inquiets, "dans leurs petits souliers"
Qu'allait-il se passer ?
Ils ont tous joué le jeu
Bravo encore, et merci à eux
Un peu d'humour ne peut
Que faire du bien, appeler le rire
Et à chacun de se souvenir
Que de "la crise" on peut sourire !
Quelques pas de danse pour se dégourdir
Et comme en France dit-on,
Tout se termine en chansons,
Nous n'avons pas manqué à la tradition.
Chacun était heureux de cette journée
Convivialité, amitié, que reste-t-il à prouver ?
L'écureuil n'a pas trouvé ses noisettes...
Mais il a fait la fête !
Ninette
Offre spéciale pour les adhérents ARVEM du 20 au 25 janvier 2009 sur le spectacle "La Célestine" au théâtre de l'aquarium.
Une place achetée à 10€ = une place offerte. Contactez-nous.
Pour prolonger la vie de vos fleurs coupées, qui embellissent si bien votre maison.
- Pour un bouquet proportionné,
sinon l’eau n’arrive pas jusqu’à la tête de la fleur et celle-ci baisse du nez !! Quel dommage !
- Avant de mettre les fleurs en vase,
couper le bas des tiges bien en biais avec un couteau très tranchant, style serpette
et non avec un sécateur ou pire des ciseaux. Cela écrase les canaux et l’eau ne monte plus dans la tige. Réservez votre sécateur pour les plantes et arbustes.
Pour éviter la putréfaction de l’eau,
Bien retirer les feuilles et les petits rameaux sur la partie de la tige qui trempe dans l’eau
sinon elles vont pourrir et accélérer le vieillissement de vos fleurs.
Petites astuces
Dans l’eau du vase, mettre ½ bouchon d’eau de Javel pour 2 litres ½ d’eau environ. Cela active la décantation de l’eau. Elle reste claire, les bactéries se développent plus lentement, les fleurs vivent plus longtemps. CQFD.
Changer l’eau de vos vases 2 à 3 fois par semaine. Bien ajouter l’eau de Javel à chaque fois mais en plus petite quantité. En été, changer l’eau tous les jours sinon elles boivent de l’eau chaude (M. de la Palisse). Mettez des glaçons dans l’eau.
Voilà Mesdames et Messieurs, mes conseils éclairés,. Faites en bon usage pour prolonger la joie que vous avez à la contemplation de vos fleurs.
La prochaine fois, je vous parlerai de vos plantes.
Michèle M.
Alors que nous étions installés au chaud, près des plantes vertes...par une journée froide d'hiver, Jean-Paul nous a transportés Place Vendôme pour y rencontrer quelques belles dames.
La séance débuta par le décor, l'historique des bâtiments construits par Jules Hardouin-Mansart, sous Louis XIV et bien sûr, la pièce centrale, qui à cette époque était une statue équestre du Roi Soleil.
À la Révolution elle fut détruite. Puis remplacée par une colonne recouverte d'une spirale de bronze fondue avec les canons d'Austerlitz, et surmontée de Napoléon 1er en empereur romain.
Sous La Restauration, un drapeau fleurs delysées prendra sa place.
Sous Louis Philippe un drapeau tricolore remplace le précédent, puis ce fut un Napoléon 1er en redingote.
Sous le règne de Napoléon III revient l'empereur en" César".
La Commune s'attaque au symbole, et détruit la colonne. Finalement en 1875, l'empereur romain reprendra sa place et s'y trouve toujours actuellement.
Nous avons fait le tour de la Place octogonale : le ministère de la justice, les joailliers, l'hôtel Ritz. Quelques noms célèbres : La Castiglione (maîtresse, espionne ? de Napoléon III), Eugénie de Montijo (Impératrice, femme de Napoléon III) et plus proche de nous Coco Chanel.
Evocation avec maints détails sur sa vie privée, ses amies, ses hommes, son parcours professionnel, son ascension, son talent, sa réussite grâce à son intuition sur l'évolution des textiles et la volonté d'une mode nouvelle par sa simplicité, libératrice de la femme. Un destin hors du commun, agrémenté d'un caractère pour le moins "affirmé", mais aussi ses fréquentations durant la guerre, qui ont occasionné son éloignement en Suisse.
Son retour sur la fin de sa vie fut délicat, mais elle rebondit, toujours battante.
Les Dames de "notre compagnie" étaient visiblement intéressées par ce phénomène au tempérament fort, mais dont l'oeuvre est toujours d'actualité qu'il s'agisse de la mode, ou des parfums. Le sigle de COCO a encore de la valeur ! Sa boutique d'origine, rue Cambon toujours en vogue.
Retenez que nous aurons l'occasion de retrouver ce personnage dans la prochaine projection de deux films. Vous aurez l'impression de l'avoir toujours connue !
Ninette
Si vous voulez passer un excellent moment de détente, vous trouverez près du bois de Vincennes" Labiche" avec "Edgar et sa bonne".
Si on connaît bien les oeuvres amusantes d'un autre temps (mais dont le sujet est toujours d'actualité) la Compagnie les Quinze Tréteaux nous a concocté un spectacle de qualité très divertissant qui "déménage", une comédie délirante mêlant, sur des airs connus des chansons au texte incisif et une chorégraphie impeccable.
Les jeunes interprètes sont épatants et reflètent la joie de vivre, sans doute leur passion.
Si nos oreilles sont charmées par le piano et les voix, nos yeux ne le sont pas moins, par les jolis costumes qui donnent un gracieux emballage, à cette jeunesse enthousiaste.
Courez vite au *THEATRE DOUZE MAURICE RAVEL, jusqu'au 8 février du jeudi au samedi à 20h3O et dimanche 15h3O.
Ninette
* Théâtre Douze Maurice Ravel, 8 avenue Maurice Ravel, 75012 - Tél : O1 44 75 60 31
Avez-vous entendu cette information ? Pourquoi n'y a-t-il plus de moineaux dans les capitales, sauf à Paris ? Ne les appelle-t-on pas des piafs ? Notre PIAF n'était-elle pas parisienne ? Ne faisait-elle pas concurrence à la môme MOINEAU ? Vous voyez c'est normal qu'ils résident à Paris.
Question importante pour ceux qui s'intéressent à la nature, pour ceux qui veulent "décompresser" des infos dites sérieuses et penser à autre chose...
Qui n'a pas dit "oh ! Ce qu'ils sont mignons" en voyant ces petites bêtes picorer autour d'un banc près de vos pieds ?
Pourquoi à Paris avons-nous encore ce plaisir, alors que leur disparition était annoncée ? Constatons en effet encore leur présence. Ils se regroupent où ils peuvent survivre ? Probablement.
Paris est une ville verdoyante : les bois, les squares, les jardins privés sont nombreux, et aussi, spécialité de chez nous, les midinettes ! C'est notre secret, eh ! Oui ! Il y en a encore ! Bien cachées, elles grignotent, les moineaux les reconnaissent... Et puis il y a celles qui furent des midinettes, et qui ne résistent pas à effleurer des yeux leurs petits compagnons de jeunesse. Des mots doux, quelques miettes par-ci, par-là.. Ces oiseaux ont la reconnaissance du ventre. Ils reviennent, appellent les leurs pour remercier cette main généreuse, enfin pour survivre aussi bien sûr.
Faut les voir s'agiter sur la terre dès que celle-ci est un peu souple. Ils gratouillent de leurs petites pattes, fouillent du bec, se frottent le ventre, sautillent, grattent à nouveau, picorent, recommencent un peu plus loin, et à peine un bon coin repéré, émettent des appels, s'envolent, le casse-croûte assuré, reviennent à plusieurs, leurs cris encore plus perçants.
Peureux ? Ils ne le sont pas vraiment. De leurs petits yeux vifs ils observent, à votre passage, vont s'écarter, c'est vrai, mais retournez-vous, ils sont là de nouveau, ils s'actionnent. Quelquefois même ils se chamaillent sur une bonne prise, mais quand ils sont heureux, ils savent nous le faire savoir par leur chant qui arrive à couvrir le bruit de la cité.
L'hiver arrive, ils trouveront des refuges. Bien sûr certains disparaîtront, mais vous verrez, les beaux jours prochains, ils seront parmi nous, peut-être même plus nombreux.
Si par hasard l'un d'entre eux vous rend visite sur le balcon ou le rebord de votre fenêtre, ne le chassez pas. Le caresser ? Impossible. Sans bouger, admirez le, et vous verrez battre son petit cœur !
Alors comment ne pas fondre ! À la saison prochaine peut-être reviendra-t-il vous charmer ?
Ninette
Vous êtes cordialement invités au vernissage des de Francine Jolivalt "Reflets" et Emmanuel Piau "Photolife-Images de rien" le mardi 13 janvier à partir de 19h au Centre Maurice Ravel, 6 avenue Maurice Ravel, Paris 12è.
* Expositions du 12 au 30 janvier 2009
En ce dimanche-ci,
À la tombée de la nuit
Dans notre autocar, réunis, sommes partis
Découvrir à Paris, les illuminations.
Que de lumières
À l’avant, comme à l’arrière
Suscitèrent notre admiration !
Le parcours fût agrémenté
Par les commentaires « éclairés »,
De notre fidèle et dévoué conférencier,
Qui évoqua l’histoire évidemment,
Le passé des rues, des monuments
En cette soirée, le ciel étant clément,
Nous avions tout le temps,
D’observer précisément,
Les splendides façades des Galeries.
Véritables dentelles de lumières prêtant à la rêverie !
Laissant tour à tour apparaître
D’immenses motifs découpés,
Tels des broderies ou mosaïques des Grands Maîtres !
Nous découvrons la belle avenue
Les Champs Élysées, tout de blanc vêtus,
Grâce à des milliers de perles lumineuses
Accrochées aux arbres comme la poudreuse,
Laissant échapper des larmes,
Vaste féerie, pleine de charme.
Pour ces quelques instants
Nous avons retrouvé nos yeux d'enfants.
Pour continuer notre parcours
L'avenue Montaigne habillée de beaux atours,
Un arrêt devant l'étincelante tour,
Vêtue de sa robe de cour.
Arrivés dans notre quartier
La fontaine aux lions illuminée,
Nous signale que notre chemin
Maintenant touche à sa fin.
Tant mieux s'il a su vous plaire
Quoi demander de plus, que de vous satisfaire?
Ninette