Après un rappel du début de sa vie, nous avons été entraînés sur le chemin parcouru d'années en années, qui ont vu naître de nombreuses pièces de théâtre avec plus ou moins de censures ou de succès, puis la création de journaux à plusieurs reprises, et roi de l'écriture, ses romans échelonnés.
Bien sûr, la vie intime fut évoquée avec délice par les détails, car Monsieur aimait les femmes, toutes les femmes, sans pour autant être galant avec "ses plus fidèles".
Mais ce génie a été exceptionnel sur le plan des idées politiques. Avant-gardiste, il était contre l'homophobie (Claude Gueux), pour les États-Unis de l'Europe (l'Allemagne est le cœur, la France est la tête), contre la peine de mort, entre-autres...
Nommé Pair de France, participera à la Révolution de 1848, se retrouvera en opposition contre Louis Napoléon, fera un discours contre "la misère", hué à l'Assemblée Nationale, défendra le suffrage universel.....
Après avoir été Pair, élu député, reçu la légion d'honneur, il sera exilé à Bruxelles, puis Jersey et Guernesey.
Vingt ans plus tard, un retour triomphal à Paris. Il est à nouveau élu député, démissionnera. Malgré ses idées avancées, il est contre l'anarchie et par le fait, contre l'épisode de la Commune, qui représentait le désordre.
Il verra disparaître quatre de ses enfants, sa femme, sa maîtresse attitrée, montera au rang de sénateur, avant de décéder en 1885 à Paris pour séjourner définitivement au Panthéon.
- Pour détendre l'assemblée présente, tous ensemble avons chanté quelques refrains en rapport avec ses voyages en Espagne, et pour adoucir la révolte des parisiens sous la Commune, " Le temps des cerises " -
Ninette
Commentaires
A Guernesey il exigeait qu'une bonne couche près de sa chambre avec comme prétexte , le risque d'un" ètouffement " durant la nuit.