Soirées Scrabble et Tarot
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Lundi 3 août de 18h30 à 21h30 (Adhérent Gratuit)
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Si vous voulez vous replonger dans l'atmosphère du "temps béni des colonies", je vous conseille "Capitaines des ténèbres" de Yves Laurent et Serge Moatti en livre de poche n° 30 866
C'est en 1898, l'histoire de l'épopée sanglante de la colonne Voulet-Chanoine sur laquelle l'Histoire de France est bien discrète. Nous sommes en pleine affaire Dreyfus et "l'honneur" de l'armée française est déjà bien mis à mal.
Si quelqu'un possède la vidéo "Capitaines des ténèbres" de Serge Moatti, je serais heureux qu'il me contacte.
Jean-Paul
Lequel de ces écrivains est enterré au cimetière des Batignolles ?
Lequel de ces écrivains fut reçu à l'Académie française ?
Lequel de ces écrivains ne fut pas élu Prince des Poètes ?
Réponse jeudi prochain
À vous de jouer n°48
Cette pendule se trouve au 1er étage de l'immeuble du 45 rue Sergent Bauchat
Cliquez sur l'image pour l'agrandir
Coccinelle de fleur en fleur
Est signe de bonheur
Ninette
Monsieur de Paris est Anatole Deibler, le bourreau de Paris, qui effectua de 1885 à 1939, 395 exécutions dont la bande à Bonnot en 1913, Landru en 1922 et Gorguloff, l'assassin du Président Paul Doumer, en 1932.
Il mourut le 2 février 1939 d'un infarctus sur le quai du métro Porte de Saint-Cloud. Il devait se rendre à Rennes, sa ville natale, pour une éxécution.
Jean-Paul
Voici les vacances : la mer, la montagne, la campagne,
un autre horizon ; est-ce obligatoire ?
Cherchez bien, à Paris on peut s'évader aussi.....
J'ai découvert un jardin abandonné,
Quelle mouche m'a alors piquée
Pour que j'en grattouille sa terre,
Sans rêver d'en faire "un jardin extraordinaire" ?
Petit lieu insoupçonnable
Au décor lugubre, peu agréable,
Qu'offrent quelques arbres aux membres noueux
De branches noires, mortes, jugez un peu !
Le sol recouvert de verdure peu accueillante,
Que s'aventurer dessus... me hante !
La surprise passée, plus fort fut le désir
D'apporter là, couleurs, aux yeux du plaisir.
Avant de découvrir sa qualité
Combien de lierre il fallut couper !
Sans parler des ronces piquantes
Sans gêne, partout envahissantes !
Mais le courage vint en travaillant
Chaque fois un peu plus ardemment.
Je découvris sous cette couverture étalée
De grosses dalles pour une future allée.
Si vous voulez réaliser une rupture dans le temps et dans l'espace, dirigez-vous vers le château de Vincennes et procurez-vous un billlet jumelé donjon + Sainte Chapelle (exposition Les trésors des icônes bulgares) jusqu'au 30 août.
Dans le donjon, superbement restauré, vous réalisez un saut en arrière de plus de 6 siècles, et dans le Sainte Chapelle c'est le saut dans l'espace "Rome accueille Byzance dans la chapelle des Rois de France". Une envoûtante "galerie d'icônes" permet une meilleure appréhension des 80 icônes, 7 manuscrits, et 4 scupltures soigneusement sélectionnés. Allez-y vous ne serez pas déçus.
Jean-Paul
Si vous vous intéressez à l'Histoire dans les années 3O, vous ne pouvez qu'être satisfaits par l'exposition Agusti Centelles, journal d'une guerre et d'un exil 1936-1939, jusqu'au 13 septembre, Hôtel de Sully.
Le cadre est austère mais les photos parlantes. Elles nous racontent dans une première salle la guerre civile à Barcelone puis sur le front d'Aragon.
Dans une seconde salle, nous visionnons sa vie dans le camp d'internement de Bram où il séjourna avant d'obtenir un travail chez un photographe de Carcassonne.
Sur des journaux d'époque de 1939, relatant bien entendu la guerre d'Espagne, est indiqué la mort subite de Monsieur de Paris sur le quai du métro Porte de Saint-Cloud.
Si vous voulez savoir qui était Monsieur de Paris, vous aurez la réponse dans un " le saviez-vous" ? à paraître.....
Jean-Paul
Où pouvez-vous voir cette pendule ?
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Réponse jeudi prochain
À vous de jouer n°47
"La femme à la cafetière" est un tableau de :
Van Gogh a peint.....
"Les raboteurs de parquet" est une peinture de :
Albert Kahn sur le balcon de son bureau en 1928
Encore un tour vers "la Forêt Vosgienne" où se cache niché (rappel des origines de Monsieur Kahn), un habitat typique que l'on découvre après un chemin escarpé, tortueux, jonché de pierres, étroit, bordé d'orties et hautes herbes. Les messieurs du groupe se sont précipités galamment, pour aider ces dames à affronter l'escalade.
Quelle transition avec le parc "civilisé" asiatique ! Même si nous avions pensé à chausser nos pieds, nous n'avions pas songé aux bottes, ni au piolet !
Plan en main : à gauche ? non, en avant ? non en arrière ... Toute ! ... Demi tour, retrouvons les orties ! ... et un petit couple scotché sur un banc, visiblement las, les doigts de pieds à l'air, rigolant de nous voir, passer et repasser un peu plus courbés par la fatigue qui commence à pointer son nez. (C'est que le matin nous étions en partance vers les années 30).
La route pour atteindre "le Jardin Japonais" se fit coquine. Une fois découverte empruntée avec délice parmi les rosiers grimpants sous tonnelles, nous accueille, un paysage totalement différent.
Des plans d'eau où s'agitent de gros poissons dans peu de profondeur, qui viennent au bord de la berge, auprès des visiteurs, chercher quelques friandises, sachant qu'ils échappent au sushi, car personne, n'aurait le coeur de les pêcher.
Des espaliers de pierres et verdure nous permettent de circuler, des petits ponts arqués pour accèder à l'autre rive, les plantes aquatiques harmonieusement dispersées parmi des cascades offrent un décor de dépaysement.
Que ne restons-nous là ? Cette promenade tire à sa fin. Si nous reprenons le chemin du retour gardant en esprit de belles images, consolons-nous ; bon nombre d'amateurs en profitent encore, et de nouveaux arrivants nous remplacent, sans remords.
Merci à Monsieur Kahn d'avoir eu cette idée géniale de donner à ce quartier, un tel havre de paix !
Ninette