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  • Lire "L'effrayant docteur Petiot"

    paris,livreClaude Quétel nous invite à revivre ce fait divers qui passionna la France de l'après-guerre : la découverte le 11 mars 1944 d'un charnier dans un hôtel particulier de la rue Lesueur Paris XVI e ( hôtel appartenant au docteur Petiot). Puis quelques mois plus tard, le 31 octobre 1944 l'arrestation dudit docteur (métro Saint-Mandé) et enfin son procès qui débuta le 18 mars 1946.

    Le mystère reste entier: cet "effrayant docteur Petiot" était-il fou ou coupable ? En historien, Claude Quétel nous offre les éléments nous permettant de tenter de trouver une réponse. La question reste posée.

    Jean-Paul.

  • Billet d'humeur d'Annick

    Partir à la découverte d'une exposition peut être parfois un parcours de combattant.

    Une file d'attente d'une heure, voire plus jusqu'ici tout va bien. Avec un peu de lecture ou une bonne compagnie pour discuter, nous saurons patienter.

    Si l'attente a été longue, attendons-nous à ce qu'il y ait de nombreux curieux à l'intérieur, et là ça se corse.

    À l'entrée, la salle est plutôt sombre. Un panneau mural nous informe en caractères blancs sur fond gris plus ou moins clair. Pourquoi ne pas le présenter en noir sur fond blanc ou blanc sur fond noir ? Donc, les lecteurs s'entassent là et ça bouche, à chacun son rythme, normal. Si de plus, un groupe en visite guidée se trouve juste là et ne bouge pas de quelques mètres, alors là n'en parlons pas, autant profiter des informations.

    On continue. La référence de chaque tableau se situe très souvent assez bas, 70 centimètres au plus et toujours en petits caractères. Pourquoi pas à hauteur des yeux ? Ça ne nuirait pas à l’œuvre. Et voilà, il y a quelqu'un juste devant, va t 'il se déplacer à droite ou à gauche, patience.

    Et alors, si plus loin il y a des manuscrits ou des journaux présentés, il faut s'accrocher pour la lecture. éclairage réduit, stationnement prolongé.

    La visite terminée, il y aura toujours moyen de rechercher sur le net les informations manquées.

    Annick D

  • Expo "La Tour de Nesle"

    paris,expositionJusqu'au 12 décembre vous pouvez quelques instants vous croire un académicien venant travailler dans l'ambiance feutrée de la Bibliothèque Mazarine 23 Quai de Conti.

    C'est en effet après avoir déposé votre carte d’identité à l'accueil, que vous pourrez vous diriger vers ladite Bibliothèque à pas discrets (les tables sont occupées par des lecteurs absorbés dans leurs recherches) où des manuscrits et des parchemins vous renseignent sur l'histoire réelle ou fantasmée de la Tour de Nesle, qui du XIIIe au XVIIe siècle se dressait à cet emplacement.

    L'entrée est libre.

    Jean-Paul

  • Balade photos du 27 septembre

    Le soleil était au rendez-vous à la statue de St-Louis où nous étions tous équipés de nos appareils photos pour aller à la découverte de la Garde républicaine de Vincennes.

    L'aubade de la fanfare nous accueille et les spectacles s'enchaînent.

    Le cheval, meilleur ami de l'homme, quand il est en osmose avec son cavalier, son maître, il devient une merveille de précision et de perfection dans le mouvement.

    Précision également pour les motards de la Garde Républicaine dont l'équilibre nous a "scotchés". L'apothéose : la double tulipe  "17 motards sur 5 motos".

    Inutile de vous dire que les appareils ont chauffé au sens propre et au sens figuré. Nous aussi !

    Les photographes d'Arvem

     

  • Promenade de la République aux Buttes Chaumont

    Le 6... C'était notre rentrée...

    Si la rentrée scolaire a été perturbée par des opposants aux nouveaux rythmes imposés, pour notre groupe, c'est celui de la "zumba" qui fut quelque peu agressif envers notre attention, car le rythme de notre promenade n'a pas suscité de contestations.

    Partis place de la République pour y admirer sur sa statue les bas-reliefs de Dalou, il fallait grande conviction pour tendre l'oreille afin d'écouter le descriptif et se contenir pour ne pas tortiller du bassin aux sons engageants qu'offrait l'exercice public, pour soutenir la bonne santé cardiaque !

    Manifestations, jeux, attractions diverses, c'est le nouveau destin de cette place réaménagée, et tant pis pour ceux qui s'intéressent au monument.

    Notre destination étant les Buttes Chaumont, nous avons emprunté le chemin qui longe le canal St-Martin, salué au passage "la Grisette" et "Frédéric Lemaître" comédien du Boulevard du Crime, jeté un regard vers la ronde des joyeux canards, répondu par un signe amical aux passagers d'un bateau voguant d'écluse en écluse.

    paris

     

     

     

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    Ninette

  • LE PERUGIN, maître de RAPHAEL

    Très belle exposition présentée au musée Jacquemart-André sur LE PERUGIN.

    Cet artiste de la Renaissance m’était inconnu et j’avais donc tout à découvrir. Peu de toiles de ce maître, exposées dans de petites salles, et maintes explications de notre conférencière qui a su nous faire apprécier le travail de cet artiste. Quelques œuvres de Raphaël notamment nous ont permis de constater l’influence que LE PERUGIN a eue sur ses congénères.

    paris,expositionLes couleurs m’ont enchantée et j’ai encore en mémoire le très beau portrait de Marie-Madeleine. Et que dire des « Vierge à l’enfant » par LE PERUGIN ou par d’autres artistes rassemblées dans une même salle.

    Ce musée sait particulièrement nous enchanter avec ses expositions.

    Colette C

  • Un Tsar à paris

    Pour inaugurer notre nouvelle salle très spacieuse, altière, recevoir "Un Tsar à Paris", elle était disons "à la hauteur" et justifiée.

    Le peuple Arvemois s'est senti tout petit dans ce nouveau salon, mais a déployé de chaleureuses retrouvailles pour une nouvelle saison qui démarre fort, avec Alexandre 1er Tsar de Russie, face à Napoléon 1er !

    parisDe campagnes en campagnes, de victoires en défaites, d'alliances en trahisons, nous avons studieusement (j'ose dire "religieusement") reconquis l'Europe du XIXeme siècle, découvrant un homme finalement sympathique, que les Parisiens de l'époque honorèrent en vainqueur, puisque ayant voulu préserver de la destruction leur ville, où vécurent les grands philosophes Diderot et Voltaire que le Tsar appréciait, grand admirateur "des Lumières".

    Après toutes les démonstrations militaires envahissantes de Napoléon, le peuple français souffrait, las des guerres. À la suite de défaites, la capitulation et l'exil de l'Empereur furent un soulagement, ce qui explique aussi cet emballement pour Alexandre 1er, que l'on identifie comme un être profondément mystique, qui a appliqué la sagesse dans ses décisions et son comportement, car il n'a pas "attaqué la France, mais l'usurpateur Napoléon".

    Cette période trop guerrière, politiquement compliquée, reste dans la faculté et la capacité de pouvoir en faire le développement par notre Serviteur de l'Histoire, au profit de son auditoire, sachant détendre l'atmosphère par des citations souvent amusantes, même étonnantes, relatant des réactions tant celles des "hauts-placés" que celles des simples citoyens...

    Nous constatons que le célèbre personnage "béni des Dieux" choisi, était donc en parfaite harmonie avec le nouveau lieu de réunion en salle "Sainte-Cécile "dans les locaux de Saint-Gabriel, nouvellement construits. Contrairement à celui d'autrefois l'accès est facile de plein-pied, bien insonorisé, il n'attend plus que vous pour notre prochain rendez-vous avec, également maintenant des chaises pour tout le monde... On n'arrête pas le progrès !

    Ninette

  • Film "Saint-Laurent"

    Il y a eu "Yves Saint Laurent" sous les fastes et les lumières dans sa perfection artistique.

    paris,film Puis il y a eu "Saint Laurent", l'autre face que nous connaissons moins, dans sa fragilité sa solitude, ses angoisses, ses délires, cherchant la nuit pour les assouvir, à la limite de la destruction.

    Pierre Bergé avec tout son amour, n'est pas très loin pour le soutenir et le guider, ceci jusqu'à la fin. Il est la tête.

    Il y a aussi l'atmosphère de l'atelier de couture, les secondes artistes dites "les petites mains" mais, aux doigts d'or, leur complicité, leur patience, l'excitation afin de terminer à temps.

    Puis il y a au final, le grand jour du défilé, haut en couleurs, c'est un bonheur.

    Annick D