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La visite du Musée Gustave Moreau du 26-09-2011 m'avait enthousiasmé. De récentes transformations (les salles du rez-de-chaussée ont été restaurées permettant de contempler l’œuvre du maître du Symbolisme) rendent cette maison-atelier unique à Paris plus que jamais à visiter sans tarder
Musée Gustave Moreau 14 rue de La Rochefoucault Paris 9eme
C’est un grand établissement d’enseignement supérieur et de recherche fondamentale fondé par l’abbé Henri Grégoire en 1794 pour "perfectionner l’industrie nationale". Avec l’École polytechnique, ce sont deux réalisations de la Révolution française dans le domaine des sciences et techniques.
Héritier de l’esprit des lumières et des encyclopédistes, le Conservatoire a, dès son origine, une vocation pluridisciplinaire. Il est principalement destiné aux cadres en activité dans l’industrie, les entreprises et dans les services publics qui souhaitent approfondir leurs connaissances, s’initier à de nouvelles disciplines, préparer un diplôme de bac+2 à bac+8.
Son siège est à Paris et il possède 150 campus en France et en outre-mer ainsi que plusieurs centres à l’international. Plus de 100 000 élèves suivent actuellement ses cours.
Il est situé au cœur de Paris dans l’ancien prieuré bénédictin de Saint-Martin-des-Champs.
L’établissement religieux d’origine, datant de l’époque mérovingienne, fut installé en prieuré en 1060. Il s’agit d’un des plus anciens lieux de France consacrée à l’étude et utilisé sans discontinuité depuis sa création.
Mais aujourd’hui nous vous parlerons de son magnifique musée, que nous avons visité il y a quelques jours sous la conduite d’un ami, ancien professeur du Conservatoire.
Nous ne l’avions pas vu depuis sa rénovation en l’an 2000. Quel changement !
Situé sur trois niveaux il présente : - au rez-de-chaussée une section transports et dans l’Église un lieu d’émerveillement, du pendule de Foucault à l’avion de Blériot. - au premier étage : énergie, mécanique, communication, construction. - au deuxième étage : le laboratoire de Lavoisier ("la république n’ a pas besoin de savants…". Et c’est pourquoi on lui coupa la tête…), les instruments scientifiques et les matériaux.
Un nouveau musée Parisien (Mundolingua) nous fait découvrir et comprendre un des plus vieux métiers du monde, la communication....
Petit musée sur 2 étages, mais le paradis du Langage International, celui des animaux, des bébés, en passant par le Braille, Morse et codages. Une merveille de découvertes... À ne pas rater.
Si vous êtes "fan" de Picasso vous ne pouvez que vous rendre dans le Marais à l'Hôtel Salé pour admirer les œuvres du maître.
Après 45mn d'attente (beaucoup moins avec le billet acheté en ligne ou à la FNAC) vous pourrez admirer dans des salles rénovées une infinité d’œuvres (peintures et sculptures) où même si vous n'êtes pas un inconditionnel (c'est mon cas) vous trouverez votre compte.
Montez jusqu'au grenier, vous aurez droit en prime à Renoir, Matisse, Cézanne, le Douanier Rousseau et bien d'autres artistes.
À noter que le personnel est particulièrement accueillant. Ce n'est pas si courant.
Arvem nous a donné l’occasion de faire une incursion dans ce tout nouveau musée* qui retrace l’histoire de l’enregistrement sonore.
Notre guide nous a tout d’abord relaté cette idée de Charles Cros qui a été reprise vers 1889 par d’autres grands noms comme Edison, Charles Pathé… Au tout début ces appareils étaient à moteur mécanique à ressort et nous avons découvert avec stupéfaction cet appareil équipé d’une galerie de 18 écouteurs qui permettait à 18 personnes l’écoute simultanée d’un cylindre. Ce type d’appareil, présenté au grand public lors de foires, a rendu les machines parlantes très populaires. Charles Pathé en a acquis un, l’a exploité comme forain puis en a vendu avant de les fabriquer lui-même.
Gramophone, Pathéphone, électrophone, jukebox… nous avons déambulé parmi cet univers d’un autre temps, qui a évolué à grande vitesse au cours d’un siècle. Les pavillons parfois doubles de ces appareils étaient impressionnants… Après les cylindres sont apparus les disques qui se lisaient d’abord à partir du centre, avant de se lire à partir de l’extérieur comme nous les connaissons…
Le tout avec maintes explications de notre guide sur ces appareils parfaitement restaurés, illustration musicale, photos d’artistes et anciennes affiches…
Incités par le Figaro Histoire de Février-Mars 2014 à nous rendre, au Musée de Cluny, nous ne l'avons pas regretté. Le Musée y réexpose dans un nouvel écrin sa "Joconde" : la tenture de "La Dame à la licorne".
La nouvelle salle suggère le type d'espace dans lequel étaient accrochées les tapisseries au Moyen-Age.
Signalé dans les "Musées insolites de Paris" le Musée Edith Piaf est situé dans deux minuscules pièces, séjour de la chanteuse en 1933. Des souvenirs émouvants (sa robe noire, les gants de Cerdan...) y sont exposés dans une atmosphère propice à faire revivre la "Môme Piaf".
Un joli petit musée à découvrir, 5 rue Crespin-du-Gast 75011 métro Ménilmontant tel : 01-43-55-52-72 (le code d'entrée vous sera communiqué). Ouvert sur rendez-vous lundi, mardi, mercredi de 13h à 18h et le jeudi de 10h à 12h.
Entrez entrez, Mesdames et Messieurs. Venez vous réchauffer au "Musée des Arts Forains". Vous êtes invités à passer par le "Salon Vénitien". Une musique entraînante et festive vous incitera à passer sous le pont des soupirs. Voyez ces inconnus masqués, vêtus de capes de satin étoilé, de longues robes soyeuses, de plumes légères et colorées, de coiffures poudrées et bouclées. Passez derrière un paravent et observez par le petit trou, vous serez étonnés de voir qui vient se distraire sous les lumières tamisées.
Continuez dans une autre salle. Ici, vous pourrez faire un tour de manège, allez laissez vous tenter, n'ayez pas crainte du ridicule, il n'y a qu'un public autorisé. Choisissez : carrosse, attelage, cygne, cheval au pas ou cheval monte en l'air, il y aura même un tour supplémentaire pour qui veut s'étourdir.
Ces objets en bois peint sont en parfait état, lisses au toucher, ils semblent vivants, et pourtant ils datent d'un siècle pour certains. Remis en état ils sont là pour transmettre une époque où le public venait à la fête pour se rencontrer.
Ohé ! Ne partez pas comme çà, la fête n'est pas terminée. Si vous pédalez énergiquement sur un vélocipède, vous aurez peut-être droit à une barbe à papa, des nougats, un cochon en pain d'épices ou une pomme d'amour ou même des frites.
Allez, posez pied à terre et venez vous défouler à un de ces nombreux jeux d'adresse, les garçons de café vous attendent. De toute façon, qui perd, gagne.
Enfin, satisfait de votre adresse, la valse des automates vous transportera dans des coins plus ou moins obscurs où les décors pourront réveiller vos peurs lointaines.
Après vous être régalés des plaisirs enchantés, revenus à la réalité, vous pourrez si vous le souhaitez, louer ces lieux pour un évènement exceptionnel. ceci dans un cadre original (moyennant larges finances).
Nous avons eu l’honneur de pénétrer dans les salles des Grands Dépôts de l’hôtel de Soubise. Impressionnant est le mot unanime de tous les adhérents. Des kilomètres de rayonnages (90 km nous a-t-on dit !) supportant des ouvrages reliés, des cartons de conservation ou des boîtes d’archives, estampillés de lettres et de numéros répertoriant leurs précieux trésors. Des archives dont les plus anciennes remontent au VIIème siècle et les plus récentes à 1958 puisque dorénavant les documents sont acheminées à Fontainebleau.
Deux immenses ailes sont réservées à tous ces documents : l’aile Louis-Philippe avec de larges salles en pierre, voûtées, conçues pour garder au maximum une température constante, très fraîche d’ailleurs en ce mois de janvier… Et l’aile Napoléon III avec un décor différent : rayonnages et meubles en chêne, des balustrades et des escaliers en fonte, chaque salle étant précédée d’un écriteau en marbre indiquant le fonds qui y est conservé.
Et puis le Trésor des chartes qui regroupe l’ensemble des titres relatifs aux intérêts de la France. Là y est entreposée la fameuse armoire de fer, coffre-fort construit pour répondre à une demande de l’Assemblée constituante de 1790, pour conserver les originaux des lois, des procès-verbaux des assemblées et aussi les planches et tout le matériel ayant servi à la fabrication des assignats.
Des documents disposés dans des vitrines nous permettent de mieux nous rendre compte du contenu de toutes ces boîtes. Rédigés en latin gothique pour les plus anciens, des signatures prestigieuses des rois et reines de France, un mètre étalon et un kilogramme étalon en platine et la première plaque gravée de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, pillée puisque remplacée par les suivantes.
Une fois ces salles parcourues avec moult explications plus intéressantes les unes que les autres de notre guide, nous nous retrouvons dans une atmosphère plus douillette de l’hôtel de Soubise proprement dit avec les appartements du prince et de la princesse.
Une formidable visite pour laquelle nous devons un grand merci à Arvem.