Un film d’animation, qui commence comme un conte, avec un narrateur, et de très beaux dessins et de belles couleurs…
La pauvre bûcheronne, qui entend sans cesse passer des trains, trouve un jour un bébé certainement apporté par un de ces trains.
Voilà comment débute cette histoire…
Puis deux mondes parallèles, tout proches l’un de l’autre, les couleurs de la forêt laissent place à un monde de grisaille, sans aucun commentaire mais ce serait superflu… La fable glisse vers la réalité du pire… (ça se passe en Pologne, en pleine seconde guerre mondiale).
Je ne vous en dis pas plus car il faut aller voir ce film bouleversant, de Michel Hazanavicius, un chef d’œuvre profondément juste.
Colette C