On comprend mieux, après la lecture de ce livre, que le 29 mars 1827 parmi les trente mille Viennois qui portent en terre ce génie de la musique aucune personne de la Cour ni représentant de l'Empereur ne sont présents.
Toujours se souvenir qu'avant de quitter ce monde en plein cœur d'un orage (quel symbole !) Ludwig von Beethoven nous aura parmi cent chefs d’œuvre légué son Hymne à la joie.
Eric Orsenna, au style alerte, nous aide à nous remémorer la vie parfois difficile de ce génial musicien, qu'il compare à l'albatros de Baudelaire tant il était gauche dans la vie courante mais génial dans son art.
Un livre à ne pas manquer
Jean-Paul
Commentaires
Profitons-en pour lire (ou relire) Baudelaire.