Il y a eu "Yves Saint Laurent" sous les fastes et les lumières dans sa perfection artistique.
Puis il y a eu "Saint Laurent", l'autre face que nous connaissons moins, dans sa fragilité sa solitude, ses angoisses, ses délires, cherchant la nuit pour les assouvir, à la limite de la destruction.
Pierre Bergé avec tout son amour, n'est pas très loin pour le soutenir et le guider, ceci jusqu'à la fin. Il est la tête.
Il y a aussi l'atmosphère de l'atelier de couture, les secondes artistes dites "les petites mains" mais, aux doigts d'or, leur complicité, leur patience, l'excitation afin de terminer à temps.
Puis il y a au final, le grand jour du défilé, haut en couleurs, c'est un bonheur.
Annick D