Slogan entendu, répété
En effet on peut le constater
À plusieurs niveaux
Un rappel s’il le faut,
C’est plutôt mauvais.
Comme les feux de forêts
À perdre la raison
Misère pour les habitants
Qui ont perdu leurs maisons.
Mais c’est pire au Liban,
Catastrophe que cette explosion
Qui génère la révolution
D’un peuple désespéré
Face à sa ville dévastée.
Que d’angoisses suscitées
Devant la difficulté
De pouvoir survivre
Se soigner, s’alimenter
Trouver les vivres,
Dégager, réparer, démolir
Et tout reconstruire
C’est le pire évènement de l’été.
L’entraide immédiate soulevée
Face au désastre et son importance
Faudra donner en suffisance,
Sans doute pour longtemps
Moyens humains, matériels sûrement
Cagnottes, concerts sont organisés.
Grande solidarité retrouvée
Redonner de l’espoir
Et comme si ce n’était pas assez
Voilà une marée noire,
Destruction d’un site d’exception
Lutte intensive pour la restitution
D’un paysage paradisiaque
Alors que les images sont démoniaques.
Ne dit-on pas, jamais deux sans trois ?
Covid, incendies, explosion, marée, déjà
Sans oublier la fonte de glaciers
Hélas, que de dégâts !
Stop ! Les limites sont dépassées.
Pour ce début de siècle
Qu’il est vicieux le cercle !
Maintenant la canicule
Je dis ; point virgule,
Pour terminer cette liste
Peut-on être encore optimiste ?
La sagesse, bonne conseillère
Nous souffle, c’est de bonne guerre
Essayez de garder le moral !
Point final.
Ninette