Jusqu'au 17 mars le Musée Delacroix présente en complément de ses collections permanentes les peintures, croquis et dessins appartenant à l'héritage de Moreau-Nélaton grand collectionneur devant l’Éternel.

On y retrouve notamment le peintre fasciné par ce qu'il a découvert durant son voyage en Afrique du Nord. Les observations faites dans ma note du 10 août 2013 restent valables.

Jean-Paul

Si vous voulez visiter un des plus agréables Musées insolites de Paris, dirigez-vous vers le 2 Boulevard de Strasbourg, où au 3 eme étage le Musée de l'Eventail présente à l'occasion de ses 20 ans les "Trésors du Musée de l'Eventail" et cela jusqu'au 12 mars 2014 du lundi au mercredi de 14h à 18h.

Je ne vais pas vous décrire la beauté de cette centaine de "paravents de la beauté". Allez-y, vous ne serez pas déçus.

Jean-Paul

Jusqu'au 15 juin la Galerie des bibliothèques de la Ville de Paris présente une sélection de 200 agrandissements illustrant "la guerre au quotidien" dans "Paris, 14-18".

On peut constater que durant cette période malgré les bouleversements de la vie quotidienne, la ville s'organise et la vie continue.

Cette exposition fait œuvre de mémoire, ce qui ne peut être que salué.

Jean-Paul

Si vous avec tendance à confondre l'Art Nouveau et l"Art Déco, n'hésitez pas, dépêchez-vous avant le lundi 3 mars de vous rendre place du Trocadéro à la Cité de l'Architecture et du Patrimoine afin de parcourir l'exposition "1925 Quand l'Art Déco séduit le monde".

En 1925, la femme moderne fait son apparition et Paris 1925 est le centre du monde. Les Années Folles succèdent à la Belle Epoque et l'Art Déco à l'Art Nouveau.

Cette exposition vous aidera à visualiser les réalisations Art Déco dans le monde et dans l'Hexagone.

Quelques surprises vous attendent.

Jean-Paul

Jusqu'au 8 mars même s'il fait froid (couvrez-vous bien) en plein après-midi vous aurez 1/2 heure d'attente pour pénétrer dans la salle Saint-Jean de l’Hôtel de Ville, et profiter sans bourse déliée, des réalisations du photographe Brassaï qui "Pour l'amour de Paris" a sillonné les rues et places parisiennes dans les années 1930-1940.

Une salle est consacrée à Picasso dont il fut l'ami. Nombreuses photos des "mauvais garçons" de la rue de Lappe et des escaliers de Montmartre.

Attendez-vous à bien, d'autres découvertes. Ce serait trop long de toutes vous les énumérer.

Jean-Paul

Sans grande publicité, dans la salle des Prévôts de l’Hôtel de Ville, est présentée jusqu'au 7 mars l'exposition "Fusillé pour l'exemple" "Les fantômes de la République". Son objet est de faire comprendre comment la justice fut rendue au nom du peuple entre 1914 et 1918.

Une exposition à ne pas manquer pour ceux qui n'aiment pas le "bourrage de crâne".

Jean-Paul

Jusqu'au 16 février, la Maison de Victor Hugo fait le parallèle entre les dessins de Victor Hugo et les œuvres des surréalistes.

Ce parcours permet aux admirateurs de cet immense écrivain, aux multiples facettes, de (re)découvrir dans un contexte nouveau, certains croquis élaborés aux cours de ses nombreuses pérégrinations. Les châteaux forts de la Vallée du Rhin sont particulièrement mis en valeur.

Jean-Paul

Belle visite au Petit Palais pour voir l’exposition consacrée à Jordaens, ce collaborateur de Rubens et de Van Dyck. On peut y constater l’évolution de son art, sa maîtrise progressive dans les carnations qu’il représente et qui sont de plus en plus fidèles à la réalité. Excellence des visages "âgés", voire des "trognes".

J’ai pu apprécier la mise en scène de cette exposition avec la réalisation de maquettes grandeur nature de portes et de façades de maisons et un plan de la ville d’Anvers au sol.

Très bons commentaires du guide qui nous a décrypté les symboles de l’époque (perroquet, perle rouge, chardonneret…) et nous a expliqué le contexte religieux difficile de cette époque.

Et pour terminer cette visite, nous étions conviés dans un cabinet de curiosités pour voir, toucher, admirer les différents éléments ayant pu servir à Jordaens.

Une très belle et instructive exposition.

Colette C

Jusqu'au 27 janvier (dépêchez-vous si vous voulez la visiter) le Musée Guimet présente l'exposition "Angkor, naissance d'un mythe".

Tous les amoureux de l'art khmer ne peuvent que se précipiter au Musée Guimet pour découvrir les œuvres (moulages et originaux) résultant des recherches d'un passionné bien méconnu Louis Delaporte auteur de missions au Cambodge en 1873 et 1881.

La maquette au 1/100 du Bayon d'Ankhor Thom est évocatrice et la partie supérieure de la tour à visages de ce même Bayon particulièrement impressionnante.

Des photos des danseuses royales exposées dans la superbe bibliothèque du Musée ne peuvent que nous permettre de nous souvenir de Mata-Hari qui fascina ses admirateurs en ce lieu, il y a plus d'un siècle.

Jean-Paul

Dans la Tour Jean-sans-Peur jusqu'au 30 mars 2014 l'exposition "L'école au Moyen Age" nous présente cet heureux temps où "il eût été bien difficile qu'un fils de roi fût élevé avec plus de soin dans le palais de son père que le dernier des enfants à Cluny".

Comme d'ordinaire, une exposition bien documentée.

Jean-Paul