Qui a dit "Qu’ils chantent, pourvu qu’ils paient" ?
- Mazarin
En 1648, au début de la Fronde, le Premier ministre Mazarin était attaqué dans de nombreux libelles rimés (les mazarinades), qui
dénonçaient son projet de nouvel impôt. Le cardinal fit ce simple commentaire, inspiré d’Atrée : "Qu’ils chantent, pourvu qu’ils paient. "